Le président de la RADDHO (rencontre africaine des droits de l'homme) a annoncé son opposition catégorique au projet de loi instaurant l’élection simultanée. Mieux, son organisation n’exclut pas de créer un mouvement «touche pas à ma constitution».
«Nous n’accepterons pas que notre constitution soit touchée à quelques encablures des élections parce que ça va nous amener vers des tensions inutiles. Et ça peut faire basculer le Sénégal», a prévenu Alioune Tine au micro de la Rfm (privée).
«Si ce projet passe, en réalité c’est un coup d’Etat ; c’est une véritable forfaiture politique», a constaté le défenseur des droits de l’homme qui ajoute : «Nous avons trop de problèmes comme ça pour en ajouter autre chose».
«Une constitution, c’est extrêmement sérieux et la proposition qui a été faite est une proposition de changement de régime», a lancé Alioune Tine.
«Il s’agit d’une réforme constitutionnelle, d’une très grande importance qu’on ne peut pas engager à la légère sans consultation populaire», a-t-il ajouté.
«On en a assez que la constitution soit considérée comme un chiffon et qu’on peut manipuler à sa guise selon ses intérêts», s’est-il insurgé.
«Nous n’accepterons pas que notre constitution soit touchée à quelques encablures des élections parce que ça va nous amener vers des tensions inutiles. Et ça peut faire basculer le Sénégal», a prévenu Alioune Tine au micro de la Rfm (privée).
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