L’objectif du sommet est simple : rassembler, dans une même salle, différents pays, des fondations, le secteur privé et récolter le plus de fonds possibles, pour lutter contre le VIH, la tuberculose et le paludisme partout dans le monde.
« Je suis heureuse de déclarer officiellement ouverte la session d'annonces de contributions. » En présentiel ou en visioconférence, chaque représentant a deux minutes pour annoncer le montant alloué par son pays pour les trois prochaines années.
Le Canada a par exemple annoncé un peu plus d'un milliard de dollars : « Le Canada est un défenseur de longue date de la santé mondiale. »
Selon Winnie Byanyima, directrice d’OnuSida, il s’agit d’un huitième sommet avec un enjeu de taille : « Notre objectif mondial, c’est que le sida ne soit plus une menace pour la santé publique, d’ici 2030. Et les annonces de contributions d'aujourd'hui couvrent justement cette période qui s'étend jusqu'à 2030. Cela signifie que nous devons faire un effort considérable. »
Et quand le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, annonce la somme récoltée : « 1,34 milliard de dollars américains ! », le public applaudit. Seulement, cette somme est encore loin des 18 milliards attendus par le Fond mondial pour atteindre ses objectifs.
Si certains pays ont augmenté leur participation comme la Côte d’Ivoire, d’autres n’ont pas fait d’annonce officielle. C’est le cas de la France, en raison de son instabilité politique et budgétaire. Plusieurs associations, comme le Sidaction, décrivent alors ce sommet comme un « échec » dont « la France porte la lourde responsabilité ».
L’organisation TAC, une importante organisation de lutte contre le sida, en Afrique du Sud, avait d’ailleurs organisé une manifestation devant l’Ambassade française à Pretoria, en parallèle du sommet, pour dénoncer ce manque d’annonce officielle de la France, pourtant partenaire historique du Fonds mondial.
« Je suis heureuse de déclarer officiellement ouverte la session d'annonces de contributions. » En présentiel ou en visioconférence, chaque représentant a deux minutes pour annoncer le montant alloué par son pays pour les trois prochaines années.
Le Canada a par exemple annoncé un peu plus d'un milliard de dollars : « Le Canada est un défenseur de longue date de la santé mondiale. »
Selon Winnie Byanyima, directrice d’OnuSida, il s’agit d’un huitième sommet avec un enjeu de taille : « Notre objectif mondial, c’est que le sida ne soit plus une menace pour la santé publique, d’ici 2030. Et les annonces de contributions d'aujourd'hui couvrent justement cette période qui s'étend jusqu'à 2030. Cela signifie que nous devons faire un effort considérable. »
Et quand le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, annonce la somme récoltée : « 1,34 milliard de dollars américains ! », le public applaudit. Seulement, cette somme est encore loin des 18 milliards attendus par le Fond mondial pour atteindre ses objectifs.
Si certains pays ont augmenté leur participation comme la Côte d’Ivoire, d’autres n’ont pas fait d’annonce officielle. C’est le cas de la France, en raison de son instabilité politique et budgétaire. Plusieurs associations, comme le Sidaction, décrivent alors ce sommet comme un « échec » dont « la France porte la lourde responsabilité ».
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