Sur sa décision d’adopter la politique de la chaise vide, l’opposition apporte ses clarifications. En effet, après s’être indignés de la correspondance non signée par le président de la République et la convocation faite par le ministre de l’Intérieur et non par Macky Sall, les leaders de l’opposition estiment qu’il n’est pas orthodoxe de convier des leaders politiques autour de cet important sujet en trois (3) jours d'intervalle seulement.
Par ailleurs, « à ces manquements graves, s'ajoute le fait que nous ne saurions accepter un agenda unilatéral que le pouvoir imposerait sous le vocable de dialogue avec l'Opposition tant il est vrai que nous avons aussi nos préoccupations qui sont, entre autres, celles liées aux libertés publiques et à l'état de droit sérieusement malmenés dans notre pays », pestent-ils dans un communiqué qui nous est parvenu.
Loin de désarmer l’opposition dit ne pas comprendre qu'avec les lourds contentieux qui divisent le pouvoir et son opposition depuis que le Président Sall a pris fonction il y a bientôt vingt mois, l'on puisse, subitement, mettre tout cela aux oubliettes pour venir s'asseoir autour de la table comme si de rien n'était, et faire semblant de se concerter sur des sujets pour lesquels toutes les décisions sont déjà arrêtées.
En plus, rappellent-ils, de nombreux responsables de partis membres de leur coalition croupissent en prison pour des motifs tout à fait fallacieux puisque depuis des mois aucune preuve de ce qui leur est reproché n'a pu être apportée tandis que d'autres sont harcelés et pourchassés nuit et jour. Ils notent également que le code électoral et le système électoral en général doivent faire l'objet de toilettage après toutes ces élections passées alors que le gouvernement n'en parle pas.
Promettant de poursuivre la lutte légitime jusqu'à ce que Macky Sall accepte d'ouvrir un vrai dialogue franc et inclusif, le PDS et ses alliés convient la presse à une rencontre ce mardi à 16 heures à sa permanence sur la VDN.
Par ailleurs, « à ces manquements graves, s'ajoute le fait que nous ne saurions accepter un agenda unilatéral que le pouvoir imposerait sous le vocable de dialogue avec l'Opposition tant il est vrai que nous avons aussi nos préoccupations qui sont, entre autres, celles liées aux libertés publiques et à l'état de droit sérieusement malmenés dans notre pays », pestent-ils dans un communiqué qui nous est parvenu.
Loin de désarmer l’opposition dit ne pas comprendre qu'avec les lourds contentieux qui divisent le pouvoir et son opposition depuis que le Président Sall a pris fonction il y a bientôt vingt mois, l'on puisse, subitement, mettre tout cela aux oubliettes pour venir s'asseoir autour de la table comme si de rien n'était, et faire semblant de se concerter sur des sujets pour lesquels toutes les décisions sont déjà arrêtées.
En plus, rappellent-ils, de nombreux responsables de partis membres de leur coalition croupissent en prison pour des motifs tout à fait fallacieux puisque depuis des mois aucune preuve de ce qui leur est reproché n'a pu être apportée tandis que d'autres sont harcelés et pourchassés nuit et jour. Ils notent également que le code électoral et le système électoral en général doivent faire l'objet de toilettage après toutes ces élections passées alors que le gouvernement n'en parle pas.
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