« L'Etat du Sénégal vient d’acheter l'avion présidentiel de la France pour 3O millions d’euro soit 20 milliards 960 millions de FCFA. L'avion, un A319 est acheminé à Bordeaux pour des réaménagements ». C’est la RFM qui donne l’information citant l’Agence France presse.
Toujours selon nos confrères de la RFM, citant Ahmed Khalifa Niasse, « le ministre de l’Economie et des Fiances, Abdoulaye Diop, s’était rendu en France pour signer une convention relative à l’achat de l’avion ».
Pourtant on se rappelle que le Président Wade avait nié avoir acquis un nouvel avion après la révélation faite sur cette acquisition à l’époque par Nouvel Horizon avec « les critiques acerbes sur le train de vie dispendieux de l’Etat et les populations qui sont étouffées par l’inflation ».
Interrogée par la RFM, Hélène Tine de l’Afp, parti dirigé par Moustapha Niasse, parle de la nécessité d’une enquête comme c’est le cas présentement avec l’affaire dite « des biens mal acquis » qui met en cause l’ancien Président du Gabon, les actuels présidents de la Guinée Equatoriale et du Congo Brazzaville. Pour Hélène Tine, « le Président Wade, devrait être accusé de crime contre son peuple, car cet acte est incompréhensible au moment où des enseignants râlent pour des arriérés de salaires, le monde rural souffre et des maladies resurgissent dans nos hôpitaux… ».
Toujours selon nos confrères de la RFM, citant Ahmed Khalifa Niasse, « le ministre de l’Economie et des Fiances, Abdoulaye Diop, s’était rendu en France pour signer une convention relative à l’achat de l’avion ».
Pourtant on se rappelle que le Président Wade avait nié avoir acquis un nouvel avion après la révélation faite sur cette acquisition à l’époque par Nouvel Horizon avec « les critiques acerbes sur le train de vie dispendieux de l’Etat et les populations qui sont étouffées par l’inflation ».
Interrogée par la RFM, Hélène Tine de l’Afp, parti dirigé par Moustapha Niasse, parle de la nécessité d’une enquête comme c’est le cas présentement avec l’affaire dite « des biens mal acquis » qui met en cause l’ancien Président du Gabon, les actuels présidents de la Guinée Equatoriale et du Congo Brazzaville. Pour Hélène Tine, « le Président Wade, devrait être accusé de crime contre son peuple, car cet acte est incompréhensible au moment où des enseignants râlent pour des arriérés de salaires, le monde rural souffre et des maladies resurgissent dans nos hôpitaux… ».
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