Les fortes pluies qui se sont déversées sur le territoire national, engendrant des inondations, vont peut-être sauver le Sénégal d'une récession économique. Sur la pente d'un taux de croissance de -0,7 %, le pays pourrait être sauvé par l'augmentation de manière considérable de la production agricole cette année. C'est ce qu'a fait savoir le ministre de l'Économie, du Plan et de la Coopération internationale, Amadou Hott, lors d'une rencontre avec l'Association sénégalaise des anciens Élèves de l'École nationale d'administration (ASENA) jeudi.
Selon le journal "L'AS" de ce 16 octobre, l'ancien Directeur Général du Fonds souverain d'investissements stratégiques (Fonsis), qui attend les chiffres officiels pour confirmer sa déclaration d'ici quelques semaines ou mois, était l'invité du journaliste et analystes politique Yoro Dia et de ses amis de l'Asena pour détailler le Plan d'Actions Prioritaire Ajusté et Accéléré du Plan Sénégal Emergent(PAP2A) qui doit engager un peu plus de 14 000 milliards Fcfa d'investissement d'ici 2023.
Dévoilé par le Président Macky Sall le 29 septembre dernier, le PAP2A apporte de nouvelles mesures pour inscrire le Sénégal dans la trajectoire de la "croissance forte", avant l'arrivée de la Covid-19, afin de maintenir le cap sur l'émergence en 2035. S'appuyant sur le triptyque "ajuster, accélérer et attaquer ", il couvre l'ensemble des secteurs de l'économie nationale et a pour objectif d'assurer au Sénégal une souveraineté alimentaire, sanitaire et pharmaceutique. Pour atteindre ses objectifs, indique Amadou Hott, l'Etat compte miser sur le partenariat public-privé (PPP) et la mise en place de réformes dans des secteurs comme celui de la Santé, de l'Agrobusiness, etc.
"Dans le cadre de la relance économique, l'Etat mettra en place des mécanismes de garantie pour des financements intéressants pour le secteur privé. Ce sont des lignes pour le secteur privé formel avec une garantie que l'Etat assure sur les projets d'investissements qui sont en phase avec ses priorités. Et ces lignes de financement seront accessibles pour tout le monde, mais c'est pour financer les investissements. L'Etat pourra garantir jusqu'à 70 % même des prêts dans certains secteurs pour les favoriser, notamment les secteurs de la santé, de l'industrie pharmaceutique, de l'agriculture, de l'agrobusiness. Tous ces secteurs sont concernés dans la relance, mais ces secteurs vont surtout bénéficier d'une discrimination positive", explique le ministre.
Selon le journal "L'AS" de ce 16 octobre, l'ancien Directeur Général du Fonds souverain d'investissements stratégiques (Fonsis), qui attend les chiffres officiels pour confirmer sa déclaration d'ici quelques semaines ou mois, était l'invité du journaliste et analystes politique Yoro Dia et de ses amis de l'Asena pour détailler le Plan d'Actions Prioritaire Ajusté et Accéléré du Plan Sénégal Emergent(PAP2A) qui doit engager un peu plus de 14 000 milliards Fcfa d'investissement d'ici 2023.
Dévoilé par le Président Macky Sall le 29 septembre dernier, le PAP2A apporte de nouvelles mesures pour inscrire le Sénégal dans la trajectoire de la "croissance forte", avant l'arrivée de la Covid-19, afin de maintenir le cap sur l'émergence en 2035. S'appuyant sur le triptyque "ajuster, accélérer et attaquer ", il couvre l'ensemble des secteurs de l'économie nationale et a pour objectif d'assurer au Sénégal une souveraineté alimentaire, sanitaire et pharmaceutique. Pour atteindre ses objectifs, indique Amadou Hott, l'Etat compte miser sur le partenariat public-privé (PPP) et la mise en place de réformes dans des secteurs comme celui de la Santé, de l'Agrobusiness, etc.
"Dans le cadre de la relance économique, l'Etat mettra en place des mécanismes de garantie pour des financements intéressants pour le secteur privé. Ce sont des lignes pour le secteur privé formel avec une garantie que l'Etat assure sur les projets d'investissements qui sont en phase avec ses priorités. Et ces lignes de financement seront accessibles pour tout le monde, mais c'est pour financer les investissements. L'Etat pourra garantir jusqu'à 70 % même des prêts dans certains secteurs pour les favoriser, notamment les secteurs de la santé, de l'industrie pharmaceutique, de l'agriculture, de l'agrobusiness. Tous ces secteurs sont concernés dans la relance, mais ces secteurs vont surtout bénéficier d'une discrimination positive", explique le ministre.
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