A une semaine du scrutin, il y a dans l'ensemble très peu d’affiches et les caravanes électorales sont moins nombreuses. La campagne électorale peine encore à emballer dans la capitale. « Sincèrement, je ne sais pas s’il y a campagne ou pas ! A en croire la radio, il y a des meetings dans différents endroits mais en tout cas moi je n’ai rien vu concernant la campagne ! » raconte ce passant.
Aucune violence n’est signalée mais des inquiétudes existent : « Jusqu’alors, on est satisfait… les Togolais ne sont pas violents mais… (quand) un résultat n’est pas conforme à leur vote, c’est ce qui créé la violence… on attend de voir…» témoigne un habitant de Lomé.
L'irruption des réseaux sociaux dans la campagne
Sur le terrain, les candidats se bousculent et tous les moyens sont bons pour convaincre. Des caravanes à travers les quartiers, des réunions publiques, du porte à porte avec distribution de casquettes, de tee-shirts. Il arrive parfois que des candidats distribuent des vivres et même de l’argent en espèces.
Et pour la première fois, au cours d’une élection, les réseaux sociaux sont mis à profit : twitter, facebook mais aussi les messages courts sur les téléphones portables sont utilisés au cours de cette campagne.
Source : Rfi.fr
Aucune violence n’est signalée mais des inquiétudes existent : « Jusqu’alors, on est satisfait… les Togolais ne sont pas violents mais… (quand) un résultat n’est pas conforme à leur vote, c’est ce qui créé la violence… on attend de voir…» témoigne un habitant de Lomé.
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Sur le terrain, les candidats se bousculent et tous les moyens sont bons pour convaincre. Des caravanes à travers les quartiers, des réunions publiques, du porte à porte avec distribution de casquettes, de tee-shirts. Il arrive parfois que des candidats distribuent des vivres et même de l’argent en espèces.
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Source : Rfi.fr
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