L’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) a été une des structures d’accueil du programme «The African Climate Change Fellowship Program» (ACCFP). Un programme qui a consisté à financer 44 jeunes chercheurs (dont deux sénégalais), des professionnels mais aussi des doctorants africains sur tout le continent du Nord au Sud, d’Est en Ouest. Le laboratoire de l’ESP de l’UCAD a, dans ce sens, accueilli 3 boursiers. Ces derniers ont travaillé sur des sujets liés aux changements climatiques particulièrement à l’adaptation du changement climatique dans différents secteurs de l’agriculture, les ressources en eau, la santé, les ressources végétales etc.
Le président du comité d’organisation de la conférence de clôture la phase 1 du programme, le professeur Amadou Gaye (ESP-UCAD) a, en outre, fait comprendre que «le changement climatique, aujourd’hui, n’est pas seulement un problème de curiosité scientifique, c’est un problème de développement». L’exemple le plus important que nous avons connu, explique-t-il, c’est la sécheresse qui a affecté de façon de très durable les économies africaines. Selon lui, il est important, dans la prospective du changement climatique s’accentuant avec des inondations, que nos populations soient préparées pour que nos économies puissent y faire face et puissent sortir de cette situation assez difficile.
Le président du comité d’organisation de la conférence de clôture la phase 1 du programme, le professeur Amadou Gaye (ESP-UCAD) a, en outre, fait comprendre que «le changement climatique, aujourd’hui, n’est pas seulement un problème de curiosité scientifique, c’est un problème de développement». L’exemple le plus important que nous avons connu, explique-t-il, c’est la sécheresse qui a affecté de façon de très durable les économies africaines. Selon lui, il est important, dans la prospective du changement climatique s’accentuant avec des inondations, que nos populations soient préparées pour que nos économies puissent y faire face et puissent sortir de cette situation assez difficile.
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