Un docteur manipule des souches d'Ebola au Centre de contrôle des maladies d'Entebbe, en Ouganda, le 2 août 2012.
Au dernier décompte on en était à dix décès sur 17 cas déclarés de fièvre Ebola. Plus d’une centaine de personnes sont actuellement sous surveillance après avoir été en contact avec les patients infectés.
Pourtant la souche virale qui se manifeste à Isiro est réputée moins dangereuse que la forme initiale du virus appelée Zaïre. Elle a été découverte en 1976 près de la rivière Ebola, dont le nom a été donné à cette terrible fièvre hémorragique contre laquelle on n’a ni traitement ni vaccin.
Cette épidémie congolaise fait suite à celle qui s’est déclarée en Ouganda. Mais ces deux épidémies n’ont peut-être rien à voir l’une avec l’autre, les souches de virus ne sont pas les mêmes.
Côté ougandais, Ebola vient de faire 16 morts, côté congolais le virus en a fait dix, et tout est mis en œuvre par l’Organisation mondiale de la santé et le ministère de la Santé, avec l’appui de Médecins sans frontière, pour endiguer l’épidémie.
Des messages de prévention sont diffusés en direction de la population, des mesures d’hygiène essentiellement, comme de ne surtout pratiquer aucun rite funéraire risquant d’établir un contact avec les corps de ceux qui sont décédés de l’Ebola.
Source: RFI
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