Président MRLD, Abdourahmane SARR compte diriger une liste citoyenne du Mouvement Moom Sa Bopp Mënël Sa Bopp aux élections législatives de juillet 2017 «si (sa) candidature est parrainée par assez de sénégalais».
«Le Sénégal a un grand potentiel et nous travaillons dur, autorités, opposition, comme citoyens, mais nous n’y arrivons pas. Nous avons des ressources humaines de qualité et une volonté de nous en sortir. Chaque sénégalais le démontre tous les jours, ici comme à l’étranger. Nous sommes capables de grandes choses mais le potentiel de chaque sénégalais n’est pas suffisamment valorisé. Les jeunes ne trouvent pas d’emplois, nous ne travaillons pas à plein régime, ni dans nos villes ni dans nos campagnes, et nous n’avons pas accès à des services de santé et d’éducation de qualité. Nos infrastructures sont limitées et notre cadre de vie dans les villes est déplorable. Nos entreprises et nos paysans qui essaient de créer de la valeur se trouvent en face d’un état qui veut réfléchir et diriger le développement à leur place. Un état qui dresse beaucoup d’obstacles sur leurs chemins, des impôts élevés, et une bureaucratie inefficace», décline-t-il dans une déclaration parvenue à PressAfrik.
Et de poursuivre : «Nos leaders politiques nous disent qu’ils vont régler ces problèmes. Ces promesses vous les avez entendues plus d’une fois. Mais rien ne change. La réalité est qu'ils n'ont pas de solutions à nos problèmes de développement. Ils nous doivent essentiellement des services publics de qualité. Nous sommes nous-mêmes la solution à notre développement… ».
«Le Sénégal a un grand potentiel et nous travaillons dur, autorités, opposition, comme citoyens, mais nous n’y arrivons pas. Nous avons des ressources humaines de qualité et une volonté de nous en sortir. Chaque sénégalais le démontre tous les jours, ici comme à l’étranger. Nous sommes capables de grandes choses mais le potentiel de chaque sénégalais n’est pas suffisamment valorisé. Les jeunes ne trouvent pas d’emplois, nous ne travaillons pas à plein régime, ni dans nos villes ni dans nos campagnes, et nous n’avons pas accès à des services de santé et d’éducation de qualité. Nos infrastructures sont limitées et notre cadre de vie dans les villes est déplorable. Nos entreprises et nos paysans qui essaient de créer de la valeur se trouvent en face d’un état qui veut réfléchir et diriger le développement à leur place. Un état qui dresse beaucoup d’obstacles sur leurs chemins, des impôts élevés, et une bureaucratie inefficace», décline-t-il dans une déclaration parvenue à PressAfrik.
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