« Tunisie-Sénégal sera complètement différent de Sénégal-Tunisie. Et ce, pour trois raisons.
La première est que le Sénégal, encore amoindri, jouera plus à l’aise qu’à Dakar, avec moins de pression.
La deuxième est que notre équipe joue chez elle avec la fameuse obligation de faire le jeu et de prendre l’initiative. Ceci veut dire que l’allure de la sélection doit être une allure de gagnant. D’une équipe qui presse haut, qui tient plus la balle et qui marque. Ce n’est pas un dogme dont on est en train de parler, jouer pour attaquer et gagner sont une obligation. Sur le terrain, les choses vont être si différentes. On peut jouer par intermittence, admettre que le Sénégal va avoir ses périodes de jeu et que l’on peut gagner sans pour autant se porter follement devant.
Troisième raison, c’est l’approche de Leekens qui fait partie de la race des entraîneurs qui changent leurs plans de jeu en fonction du match et de l’adversaire. Va-t-on passer du 5-3-1-1 de Dakar à un vrai 3-5-2 (schéma ultra-offensif quand les deux excentrés se portent plus vers l’attaque), ou va-t-on revenir au 4-2-3-1 classique qu’on a utilisé face au Botswana ? Ce débat tactique, Leekens fait tout pour ne pas le nuancer. Il n’a pas dévoilé ses cartes, même les échos émanant de Monastir parlent d’un retour au 4-2-3-1 avec la rentrée d’un M’sakni qui va faire le régisseur à la place de Chikhaoui. » lit-on dans l’édition en ligne du quotidien la Presse
La première est que le Sénégal, encore amoindri, jouera plus à l’aise qu’à Dakar, avec moins de pression.
La deuxième est que notre équipe joue chez elle avec la fameuse obligation de faire le jeu et de prendre l’initiative. Ceci veut dire que l’allure de la sélection doit être une allure de gagnant. D’une équipe qui presse haut, qui tient plus la balle et qui marque. Ce n’est pas un dogme dont on est en train de parler, jouer pour attaquer et gagner sont une obligation. Sur le terrain, les choses vont être si différentes. On peut jouer par intermittence, admettre que le Sénégal va avoir ses périodes de jeu et que l’on peut gagner sans pour autant se porter follement devant.
Troisième raison, c’est l’approche de Leekens qui fait partie de la race des entraîneurs qui changent leurs plans de jeu en fonction du match et de l’adversaire. Va-t-on passer du 5-3-1-1 de Dakar à un vrai 3-5-2 (schéma ultra-offensif quand les deux excentrés se portent plus vers l’attaque), ou va-t-on revenir au 4-2-3-1 classique qu’on a utilisé face au Botswana ? Ce débat tactique, Leekens fait tout pour ne pas le nuancer. Il n’a pas dévoilé ses cartes, même les échos émanant de Monastir parlent d’un retour au 4-2-3-1 avec la rentrée d’un M’sakni qui va faire le régisseur à la place de Chikhaoui. » lit-on dans l’édition en ligne du quotidien la Presse
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