
Le Burkina Faso a connu des changements remarquables après une période d’instabilité politique, selon Alassane Sombie, un septuagénaire : « Il a fallu la révolution d’abord pour ouvrir les voies. Les réalisations sont énormes. Le Burkina Faso est venu de très loin ».
C’est surtout au niveau de la liberté d’expression et au niveau politique que le pays a fait des avancées, souligne l’enseignant chercheur Serge Théophile Balima : « Le pluralisme médiatique s’est installé. On a conquis aussi des espaces de liberté, ce qui est tout à fait remarquable. Le fait d’avoir autorisé la création très facile de partis politiques. Et il faut dire aussi que ce qui a changé, c’est quand même le niveau de scolarisation qui a quand même suffisamment évolué, même si les déficites restent encore énorme ».
Des Burkinabè restent critiques
Dans plusieurs domaines, il reste des efforts à fournir, confie Soumane Touré, chef du Parti de l’indépendance du travail et de la justice : « L’attente des populations est grande aujourd’hui, surtout ces questions fondamentales de santé, de production, de l’autosuffisance alimentaire. On a tous un problème ».
Pour d’autres Burkinabè, leur pays a connu un véritable recul : « Nous avons régressé. Nous avons des frontières que nous n’arrivons plus à maitriser, notamment dans le Soum, dans le Yagha, à l’Est, au Nord. Si ça continue comme ça, ça nous inquiète ».
Selon le professeur Serge Théophile Balima, il faudra mettre l’accent sur la consciente citoyenne et la défense de certaines valeurs patriotiques dont le pays a besoin pour un développement harmonieux et durable.
C’est surtout au niveau de la liberté d’expression et au niveau politique que le pays a fait des avancées, souligne l’enseignant chercheur Serge Théophile Balima : « Le pluralisme médiatique s’est installé. On a conquis aussi des espaces de liberté, ce qui est tout à fait remarquable. Le fait d’avoir autorisé la création très facile de partis politiques. Et il faut dire aussi que ce qui a changé, c’est quand même le niveau de scolarisation qui a quand même suffisamment évolué, même si les déficites restent encore énorme ».
Des Burkinabè restent critiques
Dans plusieurs domaines, il reste des efforts à fournir, confie Soumane Touré, chef du Parti de l’indépendance du travail et de la justice : « L’attente des populations est grande aujourd’hui, surtout ces questions fondamentales de santé, de production, de l’autosuffisance alimentaire. On a tous un problème ».
Pour d’autres Burkinabè, leur pays a connu un véritable recul : « Nous avons régressé. Nous avons des frontières que nous n’arrivons plus à maitriser, notamment dans le Soum, dans le Yagha, à l’Est, au Nord. Si ça continue comme ça, ça nous inquiète ».
Selon le professeur Serge Théophile Balima, il faudra mettre l’accent sur la consciente citoyenne et la défense de certaines valeurs patriotiques dont le pays a besoin pour un développement harmonieux et durable.
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