Le président de la transition Brice Clotaire Oligui Nguema a été le premier à déposer sa candidature, samedi matin. Il était accompagné de son épouse Zita et d’une foule nombreuse. Celui-ci a annoncé sa mise en disponibilité de l’armée, une condition fixée par le code électoral gabonais pour qu'un militaire puisse se porter candidat. « Le ministère de la Défense l’a acceptée », a-t-il indiqué. Le chef de la transition ira en indépendant avec sa nouvelle plateforme : le Mouvement des bâtisseurs.
Discret ces derniers jours, l’ancien Premier ministre Alain Claude Bilie By Nze, encadré par son état-major, a aussi déposé son dossier. « Je parlerai la semaine prochaine », a-t-il lancé à la presse. Sont également candidats le syndicaliste Jean Remy Yama, une figure de la société civile gabonaise qui a passé 18 mois en prison sous le régime d’Ali Bongo, et Pierre Claver Maganga Moussavou, le fondateur du PSD aujourd'hui âgé de 72 ans alors que, selon la Constitution, les candidats doivent être âgés de 35 à 70 ans. Ce dernier a déjà brigué la présidence à 4 reprises.
Au moins quatre femmes ont fait acte de candidature. Parmi elles : Zenaba Gniga Chaning et Marlène Essola Efoutamane, toutes candidates indépendantes. L’un des grands absents est à Albert Ondo Ossa, le candidat de l’opposition qui a défié Ali Bongo en 2023.
Tous les dossiers vont à présent être étudiés avant la publication de la liste officielle des candidats. Plusieurs postulants ont toutefois demandé un petit délai supplémentaire afin de pouvoir obtenir quelques documents manquants, notamment la quittance du Trésor prouvant qu'ils ont bien déposé une caution de 30 millions de F CFA.
Discret ces derniers jours, l’ancien Premier ministre Alain Claude Bilie By Nze, encadré par son état-major, a aussi déposé son dossier. « Je parlerai la semaine prochaine », a-t-il lancé à la presse. Sont également candidats le syndicaliste Jean Remy Yama, une figure de la société civile gabonaise qui a passé 18 mois en prison sous le régime d’Ali Bongo, et Pierre Claver Maganga Moussavou, le fondateur du PSD aujourd'hui âgé de 72 ans alors que, selon la Constitution, les candidats doivent être âgés de 35 à 70 ans. Ce dernier a déjà brigué la présidence à 4 reprises.
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