Des paysans récoltant dans leur champs (photo): www.bargny.info
L’objectif de la rencontre ouverte ce jeudi est de faire le point sur les efforts de notre pays en matière de développement agricole et l’élaboration d’une composante détaillée de développement rural dans le cadre du PDDAA. Il s’agit aussi d’aligner la Politique agricole commune de la CEDEAO avec le volet agricole du NEPAD pour une souveraineté alimentaire.
Par ailleurs, le programme entre en droite ligne dans la Stratégie de réduction de la pauvreté pour l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Ce qui signifie un taux de croissance annuel de 7% pour le PIB agricole, de 3,73% pour l’élevage, de 3,74% pour les ressources halieutiques et une croissance de 5,6% pour le reste de l’économie d’ici 2015.
Selon, le ministre conseiller en charge du Nepad et du Fonds de solidarité nationale, Ibrahima Mbaye, «la politique de l’Etat est axée sur la diversification des productions agricoles en vue d’une exportation et d’une intégration sur les marchés internationaux».
Interpellé sur une possibilité d’offre multiple et de qualité pour le marché américain conformément à la loi sur la croissance et la possibilité économique en Afrique (AGOA), Ibrahima Mbaye fait savoir que «les conditions ne sont pas réunies pour répondre à la demande du marché américain». Néanmoins, affirme-t-il «le Sénégal est en train de tout faire pour satisfaire la demande nationale et internationale en matière agricole».
En Afrique de l’ouest le Programme détaillé pour le développement de l’agriculture en Afrique (PDDAA) est mis en œuvre à travers la politique agricole commune de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (ECOWAS). Les secteurs prioritaires du programme sont : la gestion foncière et hydraulique, de bonnes infrastructures pour un meilleur accès au marché, l’augmentation de l’offre alimentaire et la réduction de la faim, la recherche agricole, la vulgarisation de la technologie.
Une table ronde sur le financement du PNIA est prévue au mois de septembre.
Par ailleurs, le programme entre en droite ligne dans la Stratégie de réduction de la pauvreté pour l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Ce qui signifie un taux de croissance annuel de 7% pour le PIB agricole, de 3,73% pour l’élevage, de 3,74% pour les ressources halieutiques et une croissance de 5,6% pour le reste de l’économie d’ici 2015.
Selon, le ministre conseiller en charge du Nepad et du Fonds de solidarité nationale, Ibrahima Mbaye, «la politique de l’Etat est axée sur la diversification des productions agricoles en vue d’une exportation et d’une intégration sur les marchés internationaux».
Interpellé sur une possibilité d’offre multiple et de qualité pour le marché américain conformément à la loi sur la croissance et la possibilité économique en Afrique (AGOA), Ibrahima Mbaye fait savoir que «les conditions ne sont pas réunies pour répondre à la demande du marché américain». Néanmoins, affirme-t-il «le Sénégal est en train de tout faire pour satisfaire la demande nationale et internationale en matière agricole».
En Afrique de l’ouest le Programme détaillé pour le développement de l’agriculture en Afrique (PDDAA) est mis en œuvre à travers la politique agricole commune de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (ECOWAS). Les secteurs prioritaires du programme sont : la gestion foncière et hydraulique, de bonnes infrastructures pour un meilleur accès au marché, l’augmentation de l’offre alimentaire et la réduction de la faim, la recherche agricole, la vulgarisation de la technologie.
Une table ronde sur le financement du PNIA est prévue au mois de septembre.
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