Le président Macky Sall a presque tancé ses collègues mercredi lors de son intervention à la 72e session de l'Assemblée générale de l'Organisation des nations unies (Onu). Il a consacré une importante partie de son intervention au sort des Rohingyas qui selon lui sont aussi victimes de leur statut de pauvre minorité sans importance aux yeux de la communauté internationale.
"En Birmanie, nous sommes gravement préoccupés par les exactions contre la population musulmane Rohingya. Rien, encore moins la religion, ne saurait justifier le fanatisme violent. Parce qu'il ne saurait y avoir d'émotion sélective. Le Sénégal appelle instamment la communauté internationale à agir pour mettre fin à cette véritable tragédie humaine", a déclaré le chef de l'Etat sénégalais devant ses pairs
"En Birmanie, nous sommes gravement préoccupés par les exactions contre la population musulmane Rohingya. Rien, encore moins la religion, ne saurait justifier le fanatisme violent. Parce qu'il ne saurait y avoir d'émotion sélective. Le Sénégal appelle instamment la communauté internationale à agir pour mettre fin à cette véritable tragédie humaine", a déclaré le chef de l'Etat sénégalais devant ses pairs
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