Les corps sont en ébullition, les créativités, exacerbées. Sur scène, la danseuse malgache Géraldine Leong Sang et le poète franco-togolais Serge Creppy offrent un moment de grâce où gestuelle et paroles laissent le spectateur en apesanteur.
« Thérapie »
« Le fait de travailler avec Serge pendant cette période, ça a été comme une thérapie parce que c’est la course tous les jours et le laboratoire en lui-même, c’est un moment où tu te poses, où tu prends le temps de réfléchir à certaines choses auxquelles tu ne réfléchis pas dans d’autres occasions », précise Géraldine.
« Pour moi, c’est le moment d’entrer dans une collaboration qui peut-être deviendra quelque chose de pérenne et donc créer, comme ça, des connexions avec quelqu’un car en fait, c’est ça, c’est une rencontre finalement qui peut s’approfondir pour devenir peut-être un projet. Cela devient quelque chose qui enrichit notre expérience d’artiste », souligne pour sa part Serge Creppy.
Une véritable boîte à idées
Pour les danseurs moins expérimentés, ce laboratoire est une véritable boîte à outils, à idées, où chacun vient se nourrir pour se construire. Tony Ramangarivona et Tody Rafanomezantsoa, deux jeunes danseurs de la Compagnie Rabefidihy, sont ravis de cette première participation.
« Ces ateliers m’ont permis d’avoir beaucoup de sources d’inspiration pour mes prochaines créations », dit Tony. « Oui, ici, on s’enrichit tous les uns des autres, danseurs montants comme confirmés ! », ajoute, pour sa part, Tody. La vingtaine de danseurs est d’ores et déjà sélectionnée pour participer au « Festival 321 » qui aura lieu en août 2020, dans la capitale malgache.
« Thérapie »
« Le fait de travailler avec Serge pendant cette période, ça a été comme une thérapie parce que c’est la course tous les jours et le laboratoire en lui-même, c’est un moment où tu te poses, où tu prends le temps de réfléchir à certaines choses auxquelles tu ne réfléchis pas dans d’autres occasions », précise Géraldine.
« Pour moi, c’est le moment d’entrer dans une collaboration qui peut-être deviendra quelque chose de pérenne et donc créer, comme ça, des connexions avec quelqu’un car en fait, c’est ça, c’est une rencontre finalement qui peut s’approfondir pour devenir peut-être un projet. Cela devient quelque chose qui enrichit notre expérience d’artiste », souligne pour sa part Serge Creppy.
Une véritable boîte à idées
Pour les danseurs moins expérimentés, ce laboratoire est une véritable boîte à outils, à idées, où chacun vient se nourrir pour se construire. Tony Ramangarivona et Tody Rafanomezantsoa, deux jeunes danseurs de la Compagnie Rabefidihy, sont ravis de cette première participation.
« Ces ateliers m’ont permis d’avoir beaucoup de sources d’inspiration pour mes prochaines créations », dit Tony. « Oui, ici, on s’enrichit tous les uns des autres, danseurs montants comme confirmés ! », ajoute, pour sa part, Tody. La vingtaine de danseurs est d’ores et déjà sélectionnée pour participer au « Festival 321 » qui aura lieu en août 2020, dans la capitale malgache.
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