La SADC (Communauté de développement d'Afrique australe) avait déjà imposé une date butoir, pour mettre en place une loi d'amnistie. Cette date, fixée au 29 février, n'a pas été respectée. Selon le chef de la délégation de la SADC, si le projet de loi d'amnistie n'est pas déposé au Parlement d'ici deux semaines, cela sera désormais perçu comme de la « mauvaise volonté ».
La SADC a refusé de donner toute précision sur le contenu de ses recommandations. En revanche, elle a précisé que les autorités malgaches « devront les prendre en compte dans leur projet final ». Durant cinq jours, les experts de la SADC ont examiné un texte
élaboré par des juristes malgaches. Ils l'ont comparé aux standards en vigueur en droit international, notamment sur les questions de droits de l'homme.
L'adoption de cette loi d'amnistie fait partie du processus de sortie de crise, signé par la quasi-totalité des groupes politiques malgaches en septembre 2011, dans le but d'aboutir, à des élections crédibles et transparentes.
Source: RFI
La SADC a refusé de donner toute précision sur le contenu de ses recommandations. En revanche, elle a précisé que les autorités malgaches « devront les prendre en compte dans leur projet final ». Durant cinq jours, les experts de la SADC ont examiné un texte
élaboré par des juristes malgaches. Ils l'ont comparé aux standards en vigueur en droit international, notamment sur les questions de droits de l'homme.
L'adoption de cette loi d'amnistie fait partie du processus de sortie de crise, signé par la quasi-totalité des groupes politiques malgaches en septembre 2011, dans le but d'aboutir, à des élections crédibles et transparentes.
Source: RFI
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