Andry Rajoelina (G), James Michel (C) et Marc Ravalomanana, le 24 juillet 2012, à Victoria. Photo AFP : Stringer
D'après nos informations, Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana étaient toujours dans l'archipel des Seychelles, ce mercredi soir, 25 juillet.
A Antananarivo, le ministère de la Communication se refuse à tout commentaire sur le résultat de ce tête-à-tête. C'est la consigne de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) qui a interdit aux deux camps les déclarations publiques sur cette réunion.
Une rencontre qualifiée de « décisive » par le président seychellois. Pour James Michel - qui préside cette année la Commission de l'Océan Indien (COI) - la crise malgache est un « handicap majeur » pour toute la région.
Ce face-à-face entre les deux hommes, en présence du président sud-africain Jacob Zuma - arrivé tôt ce mercredi matin - devait donc être l'occasion d'aborder les sujets qui fâchent : la question du retour de Marc Ravalomanana au pays, alors que l'ancien président a été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité, et celle de la candidature des protagonistes de la crise à la prochaine présidentielle. Des questions qui ont fait échouer toutes les précédentes négociations.
Source: RFI
A Antananarivo, le ministère de la Communication se refuse à tout commentaire sur le résultat de ce tête-à-tête. C'est la consigne de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) qui a interdit aux deux camps les déclarations publiques sur cette réunion.
Une rencontre qualifiée de « décisive » par le président seychellois. Pour James Michel - qui préside cette année la Commission de l'Océan Indien (COI) - la crise malgache est un « handicap majeur » pour toute la région.
Ce face-à-face entre les deux hommes, en présence du président sud-africain Jacob Zuma - arrivé tôt ce mercredi matin - devait donc être l'occasion d'aborder les sujets qui fâchent : la question du retour de Marc Ravalomanana au pays, alors que l'ancien président a été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité, et celle de la candidature des protagonistes de la crise à la prochaine présidentielle. Des questions qui ont fait échouer toutes les précédentes négociations.
Source: RFI
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