Cinq (5) soldats maliens ont été tués dans une « attaque terroriste » en cours au centre du pays, cinq (5) autres blessés et des véhicules détruits, informe la Direction de l'Information et des Relations Publiques des Armées.
« Les FAMa ont fait l’objet d’une attaque terroriste complexe, le dimanche 2 août 2020, aux environs de 12 h 30mn. Entre Gomacoura et Diabaly, une mission FAMa a été accrochée par des terroristes. Au même moment le camp de Gomacoura a été attaqué à l’arme lourde », selon la note.
« Au cours de cette attaque les FAMa ont enregistré un bilan provisoire de 5 morts, 5 blessés et des véhicules détruits. Côté ennemi aucun bilan n’est encore disponible. Un renfort y a été dépêché. Les fouilles sont toujours en cours », ajoute le communiqué.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes, qui l'ont ensuite évincée.
Les jihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit toujours.
Cependant les violences jihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.
« Les FAMa ont fait l’objet d’une attaque terroriste complexe, le dimanche 2 août 2020, aux environs de 12 h 30mn. Entre Gomacoura et Diabaly, une mission FAMa a été accrochée par des terroristes. Au même moment le camp de Gomacoura a été attaqué à l’arme lourde », selon la note.
« Au cours de cette attaque les FAMa ont enregistré un bilan provisoire de 5 morts, 5 blessés et des véhicules détruits. Côté ennemi aucun bilan n’est encore disponible. Un renfort y a été dépêché. Les fouilles sont toujours en cours », ajoute le communiqué.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l'armée face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes, qui l'ont ensuite évincée.
Les jihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire, qui se poursuit toujours.
Cependant les violences jihadistes ont non seulement persisté, mais se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.
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