« Pour nous, l'attentat ne change pas grand-chose ». Du côté de la force française Barkhane, on affirme simplement « rester vigilant ». Le mode opératoire demeure inchangé, aucune nouvelle consigne n'a été donnée.
L'armée française, dont les 2000 hommes sont essentiellement présents dans le nord du Mali, ne déploiera pas de troupes à Bamako. Barkhane poursuit sa lutte contre les groupes terroristes, menée également dans les pays voisins du Sahel.
La Mission des Nations unies au Mali (Minusma) ne compte pas non plus organiser de patrouilles de casques bleus à Bamako. Des experts de police ont été mis à la disposition des autorités dans la capitale malienne, mais le dispositif militaire global reste inchangé. La Minusma compte près de 9000 casques bleus, à 80% déployés dans le nord du pays.
Enfin l'armée malienne, qui compte environ 7000 hommes, continue d'attendre la signature d'un accord de paix pour se redéployer progressivement sur l'ensemble du territoire. Elle reste notamment exclue des zones contrôlées, dans le Nord, par les groupes rebelles.
-
Mali: Bamako accueille le deuxième sommet de la Confédération des États du Sahel
-
Soudan du Sud, Iran, Palestine: l’incroyable parcours de Stefano Cusin, coach des Comores, qui défie le Maroc
-
Bénin: l'ancien ministre Candide Azannaï placé en détention provisoire
-
Est de la RDC: après la fermeture du trafic sur le lac Tanganyika, les habitants d’Uvira craignent des pénuries
-
Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud




Mali: Bamako accueille le deuxième sommet de la Confédération des États du Sahel


