Le Secrétaire général d’And-Jef/Pads, Mamadou Diop Decroix a brillé de sa présence lors de la marche des syndicalistes affiliés à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts), organisée ce mardi sur l'Avenue du Centenaire. L’homme politique est venu soutient-il, épauler les travailleurs dans leur lutte pour un mieux-être : «Je viens soutenir la (Cnts) et haut de-là de la (Cnts), l’ensemble des travailleurs qui sont actuellement dans une situation extrêmement compliquée ».
Selon l’opposant, «le droit du travail est bafoué. Un peu partout, les travailleurs n’ont plus la sécurité qu’il faut. Il n’y a plus de protection des travailleurs dans les entreprises ».
Et d'ajouter : « C’est presque l’esclavage qui revient dans beaucoup entreprises. Il n’y a pas de contrats, vous êtes journaliers pendant dix (10) ans, quinze (15) ans ».
Mais tout ceci est la faute l’Etat, a laissé entendre l’avocat. Car selon lui : « Il y a des taux de croissance mais en même temps les travailleurs sont off. C’est normal qu’ils se battent. Si vous regardez ces pancartes ce sont des revendications légitimes. Les cibles de l’Etat sont des cibles sans importance sur le sort des Sénégalais. La richesse est produite dans le pays, c’est ce qui explique le taux de croissance mais ce taux de croissance est excentré, c'est-à-dire que l’argent qui est produit au Sénégal sort du Sénégal, ne sert pas le Sénégal ni les sénégalais. C’est ça le paradoxe », a-t-il conclu.
Selon l’opposant, «le droit du travail est bafoué. Un peu partout, les travailleurs n’ont plus la sécurité qu’il faut. Il n’y a plus de protection des travailleurs dans les entreprises ».
Et d'ajouter : « C’est presque l’esclavage qui revient dans beaucoup entreprises. Il n’y a pas de contrats, vous êtes journaliers pendant dix (10) ans, quinze (15) ans ».
Mais tout ceci est la faute l’Etat, a laissé entendre l’avocat. Car selon lui : « Il y a des taux de croissance mais en même temps les travailleurs sont off. C’est normal qu’ils se battent. Si vous regardez ces pancartes ce sont des revendications légitimes. Les cibles de l’Etat sont des cibles sans importance sur le sort des Sénégalais. La richesse est produite dans le pays, c’est ce qui explique le taux de croissance mais ce taux de croissance est excentré, c'est-à-dire que l’argent qui est produit au Sénégal sort du Sénégal, ne sert pas le Sénégal ni les sénégalais. C’est ça le paradoxe », a-t-il conclu.
Autres articles
-
Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté
-
Budget 2026 des Forces armées : plus de 437 milliards FCFA pour renforcer la défense nationale
-
Budget 2026 : le ministre des Forces armées met l’accent sur la sécurité, les infrastructures et le bien-être des soldats
-
Arrestation de Karim Gueye et Cie : le Collectif du Peuple dénonce une "restriction des libertés publiques"
-
Etat de santé de Farba Ngom : l’APR met en garde contre les risques liés à son maintien en détention




Distribution de flyers : Abdou Karim Gueye et ses compagnons recouvrent la liberté


