Commandant de la gendarmerie territoriale, le général de brigade Moussa Fall a sorti une note de service pour mettre à nu l’existence de caisses illicites dans les brigades. « Il m’a été donné de constater que, dans les brigades de la gendarmerie territoriale, des caisses sont ouvertes au nom de l’unité sans aucun fondement légal », signale le commandant Fall.
Selon nos confrères de Seneweb, il s’agit de trois caisses : « Une caisse journalière, une caisse hebdomadaire et une caisse spéciale du commandant de brigade. La première est « tenue à hauteur de dix mille francs et plus, selon l’importance du réseau routier et des services effectués. La deuxième est « établie à quinze mille francs par jour sous prétexte de subvenir aux besoins et problèmes liés à l’entretien du matériel de l’unité, au salaire du planton, au paiement du décodeur, etc. La troisième caisse est « instaurée au profit (du commandant) avec des versements d’une à deux fois par semaine de cent mille à plus en fonction de la densité du réseau routier ».
Toutes ces caisses sont alimentées, à chaque retour de service, par un racket organisé par les commandants de brigade et leurs adjoints. Poursuivant ces propos, il indique que « les investigations (qui) se poursuivent » montrent que ces faits constituent « une pratique à l’échelle nationale ». Toutefois, il s’oppose contre « de telles pratiques scandaleuses, qui n’honorent point l’institution encore moins la valeur incarnée du gendarme et exige des sanctionnés.
Selon nos confrères de Seneweb, il s’agit de trois caisses : « Une caisse journalière, une caisse hebdomadaire et une caisse spéciale du commandant de brigade. La première est « tenue à hauteur de dix mille francs et plus, selon l’importance du réseau routier et des services effectués. La deuxième est « établie à quinze mille francs par jour sous prétexte de subvenir aux besoins et problèmes liés à l’entretien du matériel de l’unité, au salaire du planton, au paiement du décodeur, etc. La troisième caisse est « instaurée au profit (du commandant) avec des versements d’une à deux fois par semaine de cent mille à plus en fonction de la densité du réseau routier ».
Toutes ces caisses sont alimentées, à chaque retour de service, par un racket organisé par les commandants de brigade et leurs adjoints. Poursuivant ces propos, il indique que « les investigations (qui) se poursuivent » montrent que ces faits constituent « une pratique à l’échelle nationale ». Toutefois, il s’oppose contre « de telles pratiques scandaleuses, qui n’honorent point l’institution encore moins la valeur incarnée du gendarme et exige des sanctionnés.
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