
Le ministre secrétaire général du Gouvernement, Abdou Latif Coulibaly a accusé de «légèreté» l'Organisation internationale pour les migrations (Oim), rattachée à l'Organisation des Nations Unies (ONU) qui, dans un communiqué, a décompté 140 migrants sénégalais morts dans le chavirement d'une pirogue, en tentant de rejoindre l'Espagne par la mer.
« L'ONU n'a aucune base de certification. L'ONU utilise tout le temps les moyens des Etats, parce qu'il ne dispose pas de moyens pour le faire. Ça peut impressionner peut-être certains, mais pas moi. Pour avoir pendant longtemps, en tant que consultant, servi dans les rangs de l'ONU dans des situations de guerre catastrophique où l'ONU s'en réfère aux moyens des Etats », a-t-il dit, ajoutant que l'organisation a fait « preuve de légèreté comme il l'a souvent fait et dans beaucoup de cas ».
Latif Coulibaly d'ajouter à l'émission Grand Jury de la RFM: « Dans des situations pareilles, vous n'êtes pas en mesure de décompter et de dire voilà le nombre de partant et le nombre de mort. C'est tout à fait normal et logique, parce que dans toute les embarcations de cette nature, comme dans les voyage en avion, il faut un manifeste bord pour savoir le nombre de personne qui était à l'intérieur. Ils partent en clandestinité et personne ne fait de manifeste. Il est évident que personne ne puise savoir le nombre de (passagers) et encore moins le nombre de victimes »,
Pour lui, cela se constate dans tous les pays. Ce n'est pas une incapacité, mais une impossibilité, parce que ceux qui partent n'avertissent pas et se cachent pour partir. Ils sont traqués par des patrouilles maritimes et aériennes. Ce qui fait dire au Secrétaire général du gouvernement, que c'est une impossibilité matérielle d'avoir le nombre de personnes parties pour savoir le nombre de personnes mortes.
« L'ONU n'a aucune base de certification. L'ONU utilise tout le temps les moyens des Etats, parce qu'il ne dispose pas de moyens pour le faire. Ça peut impressionner peut-être certains, mais pas moi. Pour avoir pendant longtemps, en tant que consultant, servi dans les rangs de l'ONU dans des situations de guerre catastrophique où l'ONU s'en réfère aux moyens des Etats », a-t-il dit, ajoutant que l'organisation a fait « preuve de légèreté comme il l'a souvent fait et dans beaucoup de cas ».
Latif Coulibaly d'ajouter à l'émission Grand Jury de la RFM: « Dans des situations pareilles, vous n'êtes pas en mesure de décompter et de dire voilà le nombre de partant et le nombre de mort. C'est tout à fait normal et logique, parce que dans toute les embarcations de cette nature, comme dans les voyage en avion, il faut un manifeste bord pour savoir le nombre de personne qui était à l'intérieur. Ils partent en clandestinité et personne ne fait de manifeste. Il est évident que personne ne puise savoir le nombre de (passagers) et encore moins le nombre de victimes »,
Pour lui, cela se constate dans tous les pays. Ce n'est pas une incapacité, mais une impossibilité, parce que ceux qui partent n'avertissent pas et se cachent pour partir. Ils sont traqués par des patrouilles maritimes et aériennes. Ce qui fait dire au Secrétaire général du gouvernement, que c'est une impossibilité matérielle d'avoir le nombre de personnes parties pour savoir le nombre de personnes mortes.
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