Les remous suscités par les investitures n’inquiètent pas outre mesure le chef de l’Etat Macky Sall. En effet, le chef de l’Etat, dans un entretien accordé à la chaîne de diffusion allemande Detsche Welle, a fait savoir que l’ire de certains de ses partisans qui n’ont pas été investis n’aura pas nécessairement des répercussions sur son parti, l’Alliance pour la république (Apr)
«En ce qui concerne les élections législatives, il est vrai que les investitures, c’est-à-dire le choix des candidats que moi-même j’ai opéré, vont entraîner nécessairement des mécontentements, mais ces mécontentements ne peuvent pas quand même mettre en péril la force du parti», déclare-t-il.
Mais ces remous ne concernent pas que son parti car, au sein de la coalition présidentielle, les alliés ont montré leur mécontentement face à leur absence sur les listes électorales. Certains alliés sont allés jusqu’à demander à leur leader de quitter Benno Bokk Yaakaar.
Mais là aussi, le chef de l’Etat relativise. «Nous sommes depuis 2012 sur une trajectoire de victoire. Depuis 2012, nous avons gagné toutes les élections. Je ne vois pas pourquoi pour les législatives, on vivrait le contraire », a-t-il indiqué.
«En ce qui concerne les élections législatives, il est vrai que les investitures, c’est-à-dire le choix des candidats que moi-même j’ai opéré, vont entraîner nécessairement des mécontentements, mais ces mécontentements ne peuvent pas quand même mettre en péril la force du parti», déclare-t-il.
Mais ces remous ne concernent pas que son parti car, au sein de la coalition présidentielle, les alliés ont montré leur mécontentement face à leur absence sur les listes électorales. Certains alliés sont allés jusqu’à demander à leur leader de quitter Benno Bokk Yaakaar.
Mais là aussi, le chef de l’Etat relativise. «Nous sommes depuis 2012 sur une trajectoire de victoire. Depuis 2012, nous avons gagné toutes les élections. Je ne vois pas pourquoi pour les législatives, on vivrait le contraire », a-t-il indiqué.
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