Après les huées lors du passage du Chef de l’Etat à Ourossogui, la tension est à son comble dans la coalition présidentielle dont des responsables sont montés au créneau pour tirer sur le maire socialiste, Moussa Bocar Thiam.
«Il y a eu un ras-le- bol général et c’est ce ras-le-bol général qui s’est exprimé devant le Chef de l’Etat. Il ne s’agit plutôt d’une expression populaire. C’est pourquoi qu’au cours du discours du maire, il y a eu «na dem, na dem », (qu’il parte) », s’insurge Ismaïla Dembélé.
La réponse n’a pas tardé du côté du porte-parole adjoint du Parti Socialiste (PS). «Les propos qu’ils disent sont faux. S’ils disent que j’ai été hué, c’est archi faux. Des responsables de l’APR que j’ai fini d’achever politiquement puisque depuis 2014, ils sont aux oubliettes», réplique Moussa Bocar Thiam au micro de la Rfm.
«Nous nous dresserons comme un seul homme devant lui pour dire non à la spoliation, non au banditisme, au scandale financier, au népotisme, au détournement. Nous ne faisons pas de la politique politicienne, qui touche à Ourossogui, nous verra sur son chemin», assène l’autre camp.
Le maire socialiste préfère ne pas «répondre à la provocation» car selon ces propres termes, «Tout le monde sait que la ville est en chantier, le bilan sera fait en 2019».
«Il y a eu un ras-le- bol général et c’est ce ras-le-bol général qui s’est exprimé devant le Chef de l’Etat. Il ne s’agit plutôt d’une expression populaire. C’est pourquoi qu’au cours du discours du maire, il y a eu «na dem, na dem », (qu’il parte) », s’insurge Ismaïla Dembélé.
La réponse n’a pas tardé du côté du porte-parole adjoint du Parti Socialiste (PS). «Les propos qu’ils disent sont faux. S’ils disent que j’ai été hué, c’est archi faux. Des responsables de l’APR que j’ai fini d’achever politiquement puisque depuis 2014, ils sont aux oubliettes», réplique Moussa Bocar Thiam au micro de la Rfm.
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