Ce n'est pas encore un souci mais tout de même... Dimanche, et c'est peu de le dire, Zlatan Ibrahimovic n’a pas livré le meilleur match de sa carrière contre l'OM, ni même sous le maillot parisien. Certes, "Ibra" a encore marqué, malgré une prestation plus que mitigée, et finalement c'est tout ce que lui demandent les supporters et le coach des Rouge et Bleu. Mais déjà sur certains matches en 2012, le Suédois avait caché de vraies approximations dans le jeu - parfois agaçantes - en trouvant le chemin des filets. Avec 22 buts en 26 journées (et seulement 23 matches joués), le ratio but/match reste tout de même impressionnant pour un joueur de Ligue 1.
Si son but du genou face à l’OM lui permet de sauver la face, sa prestation a tout de même été indigne d'un joueur de son calibre. En première période, Zlatan a même semblé handicaper le jeu de son équipe, réduisant à néant les efforts du dératé Ezequiel Lavezzi. L’ancien Napolitain a même fait preuve de patience à l'égard de son coéquipier, coupable de beaucoup trop de déchets dans le jeu, et s'est bien garder de pester contre lui et d'insulter la Terre entière à chaque petite erreur du nouveau n°10 parisien. Sinon, il aurait passé sa soirée de dimanche à aboyer sur Ibrahimovic. "El Pocho" a notamment offert une vraie occasion à son partenaire à la 36e minute, gâchée. Et sur le seul véritable geste de classe de la superstar, une talonnade en première intention pour Lavezzi dans les tout premiers instants de la rencontre, ce dernier a trouvé le poteau de Steve Mandanda.
Le signal d'alarme est ponctuel
A l'issue du match, Ancelotti n'a pas esquivé la réalité des difficultés rencontrées par son meilleur buteur: "Ibrahimovic n’a pas fait un grand match. Comme les autres, il a raté quelques contre-attaques. Il a marqué mais n’a pas fait un bon match. Il a connu plus de difficultés que les autres attaquants, mais tout le monde sait que ce n’est pas un joueur de contre." Le souci, justement, c’est que Paris est une équipe… de contre, comme elle l’a encore démontré devant Marseille. Or, dans ce registre, Kevin Gamleiro s'était montré particulièrement à l'aise et avait permit à l'attaque parisienne de monter un visage séduisant.
Bien sûr, ce constat d'échec n'est que passagé et l'ancien attaquant lorientais ne pèse pas autant sur les défenses adverses qu'un Zlatan Ibrahimovic, qui lui focalise l'attention de toutes les arrières-gardes pendant 90 minutes. Le n°10 du PSG libère évidemment plus d'espaces pour ses coéquipiers que ne le fait le natif de Senlis. Mais le passage du n°18 au n°10, symbolisant la transition entre 2012 et 2013, n’a pas fait du bien au colosse du PSG. "Comme Lavezzi ou Lucas Moura, il doit faire mieux sur les trois contre trois ou les deux contre deux." Ses deux compères sud-américains, très remuants contre l'OM, apprécieront... De la 14e à la 19e journée, "Ibra" avait inscrit 8 buts. Depuis, il n’en a inscrit "que" quatre en six matches. N’importe quelle autre gâchette de France s’en contenterait largement, mais Ibrahimovic n’est pas n’importe qui. Son étreinte avec Ronaldo au coup d’envoi l’a prouvé.
Source: Football.fr
Si son but du genou face à l’OM lui permet de sauver la face, sa prestation a tout de même été indigne d'un joueur de son calibre. En première période, Zlatan a même semblé handicaper le jeu de son équipe, réduisant à néant les efforts du dératé Ezequiel Lavezzi. L’ancien Napolitain a même fait preuve de patience à l'égard de son coéquipier, coupable de beaucoup trop de déchets dans le jeu, et s'est bien garder de pester contre lui et d'insulter la Terre entière à chaque petite erreur du nouveau n°10 parisien. Sinon, il aurait passé sa soirée de dimanche à aboyer sur Ibrahimovic. "El Pocho" a notamment offert une vraie occasion à son partenaire à la 36e minute, gâchée. Et sur le seul véritable geste de classe de la superstar, une talonnade en première intention pour Lavezzi dans les tout premiers instants de la rencontre, ce dernier a trouvé le poteau de Steve Mandanda.
Le signal d'alarme est ponctuel
A l'issue du match, Ancelotti n'a pas esquivé la réalité des difficultés rencontrées par son meilleur buteur: "Ibrahimovic n’a pas fait un grand match. Comme les autres, il a raté quelques contre-attaques. Il a marqué mais n’a pas fait un bon match. Il a connu plus de difficultés que les autres attaquants, mais tout le monde sait que ce n’est pas un joueur de contre." Le souci, justement, c’est que Paris est une équipe… de contre, comme elle l’a encore démontré devant Marseille. Or, dans ce registre, Kevin Gamleiro s'était montré particulièrement à l'aise et avait permit à l'attaque parisienne de monter un visage séduisant.
Bien sûr, ce constat d'échec n'est que passagé et l'ancien attaquant lorientais ne pèse pas autant sur les défenses adverses qu'un Zlatan Ibrahimovic, qui lui focalise l'attention de toutes les arrières-gardes pendant 90 minutes. Le n°10 du PSG libère évidemment plus d'espaces pour ses coéquipiers que ne le fait le natif de Senlis. Mais le passage du n°18 au n°10, symbolisant la transition entre 2012 et 2013, n’a pas fait du bien au colosse du PSG. "Comme Lavezzi ou Lucas Moura, il doit faire mieux sur les trois contre trois ou les deux contre deux." Ses deux compères sud-américains, très remuants contre l'OM, apprécieront... De la 14e à la 19e journée, "Ibra" avait inscrit 8 buts. Depuis, il n’en a inscrit "que" quatre en six matches. N’importe quelle autre gâchette de France s’en contenterait largement, mais Ibrahimovic n’est pas n’importe qui. Son étreinte avec Ronaldo au coup d’envoi l’a prouvé.
Source: Football.fr
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