Des responsables de la première heure de l’Alliance pour la République (Apr, parti au pouvoir), sont frustrés. Ils ont décidé de sortir de leur mutisme, en mettant en place une nouvelle plateforme, dénommée 'Apr nationale/Dekkal Ngor', composée d’au moins 80 membres.
« Après une dure réflexion, nous avons décidé de créer ce mouvement dénommé ‘Apr nationale Dekkal Ngor’, pour mettre en valeur les idéologies de notre parti. Aujourd’hui, notre dignité a été utilisée pour recycler, renforcer ou motiver la transhumance au détriment de la légitimité politique », a expliqué Ibrahima Sall, membre fondateur de l’Apr, dans le département de Kébémer.
Cet allié de la première heure de l’Apr a été limogé au moment où de nouveaux venus avec qui il partage la même localité ont été renforcés. La solidarité tant chanté est devenue très rare comme du diamant. Dans notre parti, les leaders ne sont pas soutenus par les hauts responsables sans fonctions ni moyens » a-t-il dénoncé dans L’Obs.
Il affirme que le travail de massification se fait désirer dans toutes les localités du Sénégal, car les leaders promus n’ont pas le temps, la capacité politique, la motivation, la légitimité et les moyens pour faire fonctionner le parti et défendre le président Sall, attaqué à tout bord.
« Après une dure réflexion, nous avons décidé de créer ce mouvement dénommé ‘Apr nationale Dekkal Ngor’, pour mettre en valeur les idéologies de notre parti. Aujourd’hui, notre dignité a été utilisée pour recycler, renforcer ou motiver la transhumance au détriment de la légitimité politique », a expliqué Ibrahima Sall, membre fondateur de l’Apr, dans le département de Kébémer.
Cet allié de la première heure de l’Apr a été limogé au moment où de nouveaux venus avec qui il partage la même localité ont été renforcés. La solidarité tant chanté est devenue très rare comme du diamant. Dans notre parti, les leaders ne sont pas soutenus par les hauts responsables sans fonctions ni moyens » a-t-il dénoncé dans L’Obs.
Il affirme que le travail de massification se fait désirer dans toutes les localités du Sénégal, car les leaders promus n’ont pas le temps, la capacité politique, la motivation, la légitimité et les moyens pour faire fonctionner le parti et défendre le président Sall, attaqué à tout bord.
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