Bonne nouvelle pour les agriculteurs de l’Afrique de l’Ouest! L’analyse des indicateurs, dérivés des données satellitaires, utilisés dans le cadre du projet AMESD, montre que les indices de végétation naturelle sont dans l’ensemble bons. En effet, dans un communiqué transmis à la rédaction de Pressafrik.com, le Centre Régional AGRHYMET a confié que «les perspectives des récoltes de la campagne agropastorale 2010-2011 sont bonnes dans l’ensemble».
Selon ces experts, une bonne croissance des cultures et des pâturages peut-être attendue presque partout dans les pays du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sècheresse dans le Sahel (CILSS) et de l’Afrique de l’Ouest.
La source indique qu’«avec la poursuite des pluies au-delà du 10 octobre, les cultures encore en place pourraient arriver à boucler convenablement leur cycle végétatif, ce qui augure dans l’ensemble de bons rendements, voire de bonnes récoltes dans le Sahel Ouest et dans les zones soudaniennes et soudanoguinéennes dans tous les pays».
Au regard des prévisions pluviométriques pour les mois de septembre, octobre et novembre 2010 faites par le Centre Européen de Prévision météorologique (ECMWF) et des prévisions jusqu’au 22 octobre du Centre National de Prévision environnementale des USA, tout laisse croire que les pluies continueront de tomber dans tous les pays, notamment dans le Sahel
Ouest et dans les zones soudaniennes et soudano-guinéennes dans tous les pays de l’Afrique de l’ouest.
«L’hivernage 2010-2011 a été marqué par un démarrage précoce, une relative bonne répartition des pluies dans le temps et dans l’espace, une abondance des pluies occasionnant des inondations dans la quasi totalité des pays et une extension des pluies dans les zones grégarigènes du criquet pèlerin dans le désert» peut-on lire dans le texte.
Sur le plan hydrologique, le centre régional AGRHYMET informe que «les écoulements des hautes eaux ont été excédentaires sur un grand nombre de bassins, avec cependant, des déficits sur d’autres, comme c’est le cas au niveau du barrage de Kompienga au Burkina Faso et du fleuve Sénégal à Kayes. Les écoulements des hautes eaux ont été concentrés cette année en coeur de saison avec des montées très rapides favorisant des inondations, amplifiées par des ruptures de barrages dans le Niger moyen».
Cependant, compte tenu des risques de prolongement de l’hivernage au-delà du 10 octobre, des mesures de surveillance et de protection doivent être prises au Sahel et en Afrique de l’Ouest pour limiter les pertes sur les récoltes des cultures et les pâturages en raison des excès d’eau.
Selon ces experts, une bonne croissance des cultures et des pâturages peut-être attendue presque partout dans les pays du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sècheresse dans le Sahel (CILSS) et de l’Afrique de l’Ouest.
La source indique qu’«avec la poursuite des pluies au-delà du 10 octobre, les cultures encore en place pourraient arriver à boucler convenablement leur cycle végétatif, ce qui augure dans l’ensemble de bons rendements, voire de bonnes récoltes dans le Sahel Ouest et dans les zones soudaniennes et soudanoguinéennes dans tous les pays».
Au regard des prévisions pluviométriques pour les mois de septembre, octobre et novembre 2010 faites par le Centre Européen de Prévision météorologique (ECMWF) et des prévisions jusqu’au 22 octobre du Centre National de Prévision environnementale des USA, tout laisse croire que les pluies continueront de tomber dans tous les pays, notamment dans le Sahel
Ouest et dans les zones soudaniennes et soudano-guinéennes dans tous les pays de l’Afrique de l’ouest.
«L’hivernage 2010-2011 a été marqué par un démarrage précoce, une relative bonne répartition des pluies dans le temps et dans l’espace, une abondance des pluies occasionnant des inondations dans la quasi totalité des pays et une extension des pluies dans les zones grégarigènes du criquet pèlerin dans le désert» peut-on lire dans le texte.
Sur le plan hydrologique, le centre régional AGRHYMET informe que «les écoulements des hautes eaux ont été excédentaires sur un grand nombre de bassins, avec cependant, des déficits sur d’autres, comme c’est le cas au niveau du barrage de Kompienga au Burkina Faso et du fleuve Sénégal à Kayes. Les écoulements des hautes eaux ont été concentrés cette année en coeur de saison avec des montées très rapides favorisant des inondations, amplifiées par des ruptures de barrages dans le Niger moyen».
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