Après la procureure de la Cour pénale internationale, c'est à la haut-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme d'exprimer son inquiétude sur la situation dans l'est de la République démocratique du Congo. Et le bilan humain très lourd : 1 300 morts en huit mois, essentiellement dans l’est du pays. Et des centaines de milliers de déplacés.
Michelle Bachelet a affirmé dans un communiqué que « le caractère généralisé et systématique de certaines des attaques contre des civils en Ituri et au Nord-Kivu peut constituer des crimes contre l'humanité ou des crimes de guerre » qui doivent faire l'objet d'enquêtes crédibles. Elle s'est dite « consternée » par l'augmentation dans le pays d'« attaques brutales contre des civils innocents par des groupes armés, et par la réaction des forces militaires et de la police qui ont également commis de graves violations, y compris des meurtres et des violences sexuelles ». Selon le communiqué, le nombre de victimes a fortement augmenté ces dernières semaines alors que les conflits dans trois provinces de l'est du pays – Ituri, Nord-Kivu et Sud-Kivu – se sont propagés.
Michelle Bachelet a affirmé dans un communiqué que « le caractère généralisé et systématique de certaines des attaques contre des civils en Ituri et au Nord-Kivu peut constituer des crimes contre l'humanité ou des crimes de guerre » qui doivent faire l'objet d'enquêtes crédibles. Elle s'est dite « consternée » par l'augmentation dans le pays d'« attaques brutales contre des civils innocents par des groupes armés, et par la réaction des forces militaires et de la police qui ont également commis de graves violations, y compris des meurtres et des violences sexuelles ». Selon le communiqué, le nombre de victimes a fortement augmenté ces dernières semaines alors que les conflits dans trois provinces de l'est du pays – Ituri, Nord-Kivu et Sud-Kivu – se sont propagés.
Autres articles
-
Le Burkina Faso expulse 3 diplomates français
-
Dialogue national au Gabon: un bilan positif à mi-parcours
-
Des inondations records dans plusieurs pays d'Afrique, noyés sous les besoins d'assistance
-
Burkina Faso: trois diplomates français déclarés «persona non grata» pour «activités subversives», annonce le ministère burkinabè des Affaires étrangères
-
Drogues en Afrique de l’Ouest: plus de prévention demandée face à la hausse de la consommation