La publication du rapport sur le climat par la BBC World Service Trust et le British Council Sénégal a permis aux experts de dégager des conclusions et faire des recommandations qui permettront au Sénégal de contribuer de façon honorable à la lutte pour la préservation de l’environnement.
Dans leurs conclusions, ces chercheurs estiment que la majorité des sénégalais ne comprennent pas la dimension scientifique du changement climatique. Ils estiment que les sénégalais ont remarqué des changements climatiques qu’ils n’associent pas au changement climatique mondial.
A les en croire, «les leaders d’opinion ont tendance à penser que le changement climatique est un sujet réservé aux experts et auquel ils ne connaissent pas grand-chose».
Cependant le rapport a conclu que «les médias et les écoles constituent la principale source d’information sur le changement climatique pour les populations. Or, les médias semblent manquer de connaissances suffisantes pour pouvoir informer efficacement le public».
Les chercheurs ont recommandé aux populations de fournir des informations, de faciliter le débat public et le débat sur les politiques général pour enfin encourager la redevabilité. C’est dans ce cadre que le « Sénégal Talk Climate » a été dégagé.
Le rapport a aussi souhaité que les sénégalais mettent au point des mécanismes qui vont leur permettre de mettre la pression sur les élus pour qu’ils prennent en compte les questions de changements climatiques. Enfin les exports ont demandé d’ « investir dans les efforts en vue de développer et de mettre à l’épreuve une terminologie appropriée liée au changement climatique dans les langues locales ».
Dans leurs conclusions, ces chercheurs estiment que la majorité des sénégalais ne comprennent pas la dimension scientifique du changement climatique. Ils estiment que les sénégalais ont remarqué des changements climatiques qu’ils n’associent pas au changement climatique mondial.
A les en croire, «les leaders d’opinion ont tendance à penser que le changement climatique est un sujet réservé aux experts et auquel ils ne connaissent pas grand-chose».
Cependant le rapport a conclu que «les médias et les écoles constituent la principale source d’information sur le changement climatique pour les populations. Or, les médias semblent manquer de connaissances suffisantes pour pouvoir informer efficacement le public».
Les chercheurs ont recommandé aux populations de fournir des informations, de faciliter le débat public et le débat sur les politiques général pour enfin encourager la redevabilité. C’est dans ce cadre que le « Sénégal Talk Climate » a été dégagé.
Le rapport a aussi souhaité que les sénégalais mettent au point des mécanismes qui vont leur permettre de mettre la pression sur les élus pour qu’ils prennent en compte les questions de changements climatiques. Enfin les exports ont demandé d’ « investir dans les efforts en vue de développer et de mettre à l’épreuve une terminologie appropriée liée au changement climatique dans les langues locales ».
Autres articles
-
Environnement : Daouda Ngom soutient l’importance de la préservation de la biodiversité
-
Environnement : « Il est impératif d’approfondir nos connaissances face aux défis environnementaux », selon Daouda Ngom
-
Saint-Louis : plaidoyer pour la préservation de l’écosystème mangrove
-
Lutte contre les inondations : une étude pour mieux prendre en charge les impacts
-
Lutte contre le changement climatique : les éleveurs appelés à mettre la main dans la pâte




Environnement : Daouda Ngom soutient l’importance de la préservation de la biodiversité


