Au total près de 2,5 millions d’électeurs sont attendus aux urnes. Avant eux, environ 60 000 agents de la force publique ont accompli leur devoir mercredi dernier. Les électeurs qui n’ont pas reçu leurs cartes à domicile peuvent les retirer à l’entrée du bureau de vote, selon le ministère de l’Intérieur. Ce sont plus de 5 700 bureaux de vote qui seront ouverts entre 7 heures et 18 heures.
Un des principaux enjeux du scrutin est sans nul doute le taux de participation. Elle a eu tendance à baisser au Congo depuis une quinzaine d’année, à l’exception notable de la présidentielle de 2016.
Concernant la transparence, certains opposants ont déjà laissé annoncer qu’ils se préparaient à contester les résultats et que la Conférence épiscopale n’a pas été autorisée à déployer ses observateurs sur le terrain. Du côté des internationaux seront présents une vingtaine d’observateurs de l’Union africaine.
Selon la "Rfi", sur le plan sécuritaire, le climat qui entoure ce scrutin paraît cependant moins lourd qu'il y a cinq ans. Cette semaine, le pasteur Ntumi, ex-chef rebelle du Pool, théâtre d'une guerre civile au lendemain de dernière présentielle a lancé un appel à la « paix ». Sans soutenir aucun candidat cette fois il a estimé que cette élection « ne doit pas être l'occasion de réveiller les vieux démons de la division ».
Un des principaux enjeux du scrutin est sans nul doute le taux de participation. Elle a eu tendance à baisser au Congo depuis une quinzaine d’année, à l’exception notable de la présidentielle de 2016.
Concernant la transparence, certains opposants ont déjà laissé annoncer qu’ils se préparaient à contester les résultats et que la Conférence épiscopale n’a pas été autorisée à déployer ses observateurs sur le terrain. Du côté des internationaux seront présents une vingtaine d’observateurs de l’Union africaine.
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