Les avocats de Khalifa Sall accusent l’Etat d'avoir donné des consignes pour qu'ils ne puissent pas s'entretenir avec leur client, Khalifa Ababacar Sall depuis le début du procès le mardi 23 janvier jusqu'à aujourd'hui.
"Depuis le démarrage du procès le mardi 23 janvier, les avocats de Khalifa Sall nont pas eu accès à leur client, c'est regrettable, et tout cela émane de l'Etat. C’est l’Etat qui qui donne des instructions à l'administration pénitentiaire qui, à son tour, donne des instructions au Procureur", dit Me Mouhamdou Seydou Diagne.
Et, "c’est regrettable. C’est à Khalifa Sall d’organiser sa défense, nous ne faisons que le défendre. Peut-être qu'il a des choses à nous dire", a-t-il conclu
"Depuis le démarrage du procès le mardi 23 janvier, les avocats de Khalifa Sall nont pas eu accès à leur client, c'est regrettable, et tout cela émane de l'Etat. C’est l’Etat qui qui donne des instructions à l'administration pénitentiaire qui, à son tour, donne des instructions au Procureur", dit Me Mouhamdou Seydou Diagne.
Et, "c’est regrettable. C’est à Khalifa Sall d’organiser sa défense, nous ne faisons que le défendre. Peut-être qu'il a des choses à nous dire", a-t-il conclu
Autres articles
-
Révision du procès Prodac : «Yassine Fall s’emploie à pousser la Cour suprême à se renier», selon Thierno A. Sall
-
Détention de la femme de Madiambal : des organisations exigent sa libération et dénoncent les conditions carcérales
-
Affaire Prodac : vers une révision du procès Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko
-
Goudomp : Diomaye annonce la réalisation prochaine d’un hôpital de niveau 4 pour « des soins spécialisés »
-
Une délégation sénégalaise en mission humanitaire à Bissau pour la libération de prisonniers politiques




Révision du procès Prodac : «Yassine Fall s’emploie à pousser la Cour suprême à se renier», selon Thierno A. Sall


