Après l'offensive turque en Syrie et la trêve négociée entre Washington et Ankara, Emmanuel Macron a fait part à la Russie d'une "prolongation du cessez-le-feu" en Syrie. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a rejeté cette proposition, mardi 22 octobre.
"Je n'ai pas reçu une telle proposition de Macron. Macron rencontre des terroristes et il a choisi ce moyen pour nous communiquer la proposition des terroristes", a déclaré le président turc, après qu'Emmanuel Macron a souligné lors d'un entretien téléphonique, lundi, avec son homologue russe Vladimir Poutine "l'importance de la prolongation du cessez-le-feu" qui expire mardi soir dans le nord-est de la Syrie.
Menace d'une reprise "avec une plus grande détermination"
"Le processus [de trêve] s'achève aujourd'hui à 22 heures. Si les promesses faites par les Américains ne sont pas respectées, l'opération reprendra avec une plus grande détermination", a déclaré Recep Tayyip Erdogan avant de s'envoler pour la Russie pour une rencontre cruciale avec son homologue russe Vladimir Poutine.
M. Erdogan a affirmé que "700 à 800" combattants kurdes s'étaient retirés pour le moment, ajoutant qu'entre 1 200 et 1 300 combattants devaient encore quitter la zone. "Nous suivons cela de près. Ce processus ne sera pas achevé sans un retrait complet", a-t-il ajouté.
"Je n'ai pas reçu une telle proposition de Macron. Macron rencontre des terroristes et il a choisi ce moyen pour nous communiquer la proposition des terroristes", a déclaré le président turc, après qu'Emmanuel Macron a souligné lors d'un entretien téléphonique, lundi, avec son homologue russe Vladimir Poutine "l'importance de la prolongation du cessez-le-feu" qui expire mardi soir dans le nord-est de la Syrie.
Menace d'une reprise "avec une plus grande détermination"
"Le processus [de trêve] s'achève aujourd'hui à 22 heures. Si les promesses faites par les Américains ne sont pas respectées, l'opération reprendra avec une plus grande détermination", a déclaré Recep Tayyip Erdogan avant de s'envoler pour la Russie pour une rencontre cruciale avec son homologue russe Vladimir Poutine.
M. Erdogan a affirmé que "700 à 800" combattants kurdes s'étaient retirés pour le moment, ajoutant qu'entre 1 200 et 1 300 combattants devaient encore quitter la zone. "Nous suivons cela de près. Ce processus ne sera pas achevé sans un retrait complet", a-t-il ajouté.
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