Trois semaines. La mission des quatre experts américains est courte et l’objectif complexe. Ils devront déterminer s’il est possible de vérifier les résultats des élections législatives, et le cas échéant, proposer à la Commission électorale des conseils pour y arriver.
Au sein de la Céni, cette aide est la bienvenue. Mais le vice-président Jacques D’joly estime que l’organisation ne manque pas de moyens : « La Céni n’est pas en déficit technique ! Il s’agit tout simplement d’un problème de foi qu’on appelle ailleurs de crédibilité, et je crois que nous-mêmes, nous avons une perspective d’une grande évaluation, au regard des objectifs que nous nous sommes fixés ».
Les partis d’opposition, notamment le principal, l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), attendent beaucoup de ces experts, notamment pour apporter de la clarté. Jacquemin Shabani, le secrétaire général du parti, leur demande de travailler en toute indépendance : « La difficulté que nous avons maintenant, c’est la Céni qui est l’acteur principal de la fraude et de la tricherie. C’est pour ça que nous encourageons nos experts à commencer par le commencement. Donc, poursuivre le processus à travers les différentes traces et les différentes preuves qu’ils pourront recueillir pour reconstituer la vérité et la justice ».
Depuis leur arrivée, des experts américains enchaînent les rendez-vous avec l’ensemble des partis politiques pour, dans un premier temps, expliquer leur démarche.
Source: RFI
Au sein de la Céni, cette aide est la bienvenue. Mais le vice-président Jacques D’joly estime que l’organisation ne manque pas de moyens : « La Céni n’est pas en déficit technique ! Il s’agit tout simplement d’un problème de foi qu’on appelle ailleurs de crédibilité, et je crois que nous-mêmes, nous avons une perspective d’une grande évaluation, au regard des objectifs que nous nous sommes fixés ».
Les partis d’opposition, notamment le principal, l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), attendent beaucoup de ces experts, notamment pour apporter de la clarté. Jacquemin Shabani, le secrétaire général du parti, leur demande de travailler en toute indépendance : « La difficulté que nous avons maintenant, c’est la Céni qui est l’acteur principal de la fraude et de la tricherie. C’est pour ça que nous encourageons nos experts à commencer par le commencement. Donc, poursuivre le processus à travers les différentes traces et les différentes preuves qu’ils pourront recueillir pour reconstituer la vérité et la justice ».
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