18h30, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa, quartier où sont regroupés beaucoup d’hôtels, de bureaux, de commerces et de résidences, il y a une brusque coupure d’électricité. Lubanda, un habitant du quartier, rassure : « Depuis que le confinement a commencé, il y a eu une rupture de courant une fois, ça va revenir. »
Le lendemain, dans une commune voisine, en début de soirée à Lingwala, la cité est soudain éclairée. Pour Bin Museme, c’est une agréable surprise : « On avait le courant de manière permanente. On se demande si c’est l’état d’urgence qui nous a ramené le délestage. Le courant, ça revient vers 21 heures d’habitude. »
Gratuité jusqu'au 18 mai
Pour leur part, les dirigeants de la Société nationale d'éléctricité font la différence entre délestage et coupure, nous explique l’un d’entre eux Alain André Atundu : « En cas de délestage, nous prévenons toujours les usagers et les clients ! Tandis que la coupure intempestive, c’est une rupture accidentelle dans la fourniture du courant. »
Le président du conseil d’administration considère que la gratuité de la fourniture de l’électricité est une réponse à l’appel de solidarité envers l’ensemble de la communauté nationale : « Nous avons le devoir et l’obligation d’accompagner le chef de l’État dans cette guerre contre le coronavirus. »
Ce sont deux mois de consommation gratuite qui ont été octroyés à la population à partir du 18 mars.
Le lendemain, dans une commune voisine, en début de soirée à Lingwala, la cité est soudain éclairée. Pour Bin Museme, c’est une agréable surprise : « On avait le courant de manière permanente. On se demande si c’est l’état d’urgence qui nous a ramené le délestage. Le courant, ça revient vers 21 heures d’habitude. »
Gratuité jusqu'au 18 mai
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