Rappelant que la croissance moyenne du produit intérieur brut (PIB) au cours de la décennie 1995-2005 qui était de 5%, a chuté de 3,3% au cours de la période 2006-2011, ce document de huit pages explique cette « moins bonne performance » par des problèmes de gouvernance ayant contribué à la faible croissance et au chômage. « L’environnement économique de ces dernières années a été marqué par un manque de transparence, le copinage et des pratiques anticoncurrentielles, qui ont dissuadé l’investissement du secteur privé’’, regrettent les concepteurs du document.
Par ailleurs, par rapport au fléau de la corruption, le Sénégal est passé du 70e rang au 112erang entre 2006 et 2011, selon l’indice de perception de la corruption établi par Transparency international. Un classement confirmé par les indicateurs de gouvernance dans le monde (Worldwide Gouvernance Indicators, WGI) de la Banque mondiale, qui indiquent une baisse de leur mesure pour la lutte contre la corruption au Sénégal, passant de 56e centile en 2004 au 30ecentile en 2010.
Toutefois, la crise économique mondiale de 2008, la hausse du prix du pétrole, les problèmes de pluviométrie et de l’Energie sont entre autres facteurs pointés du doigt par les concepteurs du document par rapport au ralentissement de l’Economie sénégalaise.
Par ailleurs, par rapport au fléau de la corruption, le Sénégal est passé du 70e rang au 112erang entre 2006 et 2011, selon l’indice de perception de la corruption établi par Transparency international. Un classement confirmé par les indicateurs de gouvernance dans le monde (Worldwide Gouvernance Indicators, WGI) de la Banque mondiale, qui indiquent une baisse de leur mesure pour la lutte contre la corruption au Sénégal, passant de 56e centile en 2004 au 30ecentile en 2010.
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