Le procureur de la République financier, Alioune Abdoulaye Sylla, a apporté des précisions sur les motifs juridiques ayant conduit à l’ouverture d’enquêtes pénales dans le sillage du rapport de la Cour des comptes sur la gestion des finances publiques entre 2019 et le 31 mars 2024.
Dans un communiqué officiel publié ce mercredi, le parquet indique que l’audit a révélé des actes et faits susceptibles de qualifications pénales, nécessitant une réaction judiciaire. Le 3 avril 2025, le parquet du Pool judiciaire financier a ainsi reçu, par l’intermédiaire du Procureur général près la Cour d’appel de Dakar, un référé aux fins d’ouverture de procédures pénales. Ce document avait été préalablement transmis au ministre de la Justice, Garde des Sceaux, par le Premier président de la Cour des comptes.
En conséquence, le 14 avril 2025, le procureur financier a saisi la Division des investigations criminelles (DIC) pour diligenter une enquête sur les différents éléments mis en cause dans le rapport.
Le parquet précise que cette démarche est encadrée par les textes régissant la gestion des deniers publics et les responsabilités des ordonnateurs, comptables, et autres agents impliqués dans l’exécution budgétaire. L’objectif est de vérifier la matérialité des infractions présumées et, le cas échéant, de poursuivre les personnes mises en cause dans le strict respect des droits de la défense.
Dans un communiqué officiel publié ce mercredi, le parquet indique que l’audit a révélé des actes et faits susceptibles de qualifications pénales, nécessitant une réaction judiciaire. Le 3 avril 2025, le parquet du Pool judiciaire financier a ainsi reçu, par l’intermédiaire du Procureur général près la Cour d’appel de Dakar, un référé aux fins d’ouverture de procédures pénales. Ce document avait été préalablement transmis au ministre de la Justice, Garde des Sceaux, par le Premier président de la Cour des comptes.
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