La décision du Conseil constitutionnel déclarant inconstitutionnelle la loi dite interprétative de la loi d’amnistie du 13 mars 2024 continue de faire réagir la classe politique et les observateurs du droit. Ce mercredi, l'ancien magistrat et figure politique Ibrahima Hamidou Dème, plus connu sous le nom de juge Dème, a salué ce qu’il qualifie de « décision historique », soulignant le rôle de gardien de la Constitution que joue la haute juridiction.
Dans une publication sur Facebook, le juge Dème s’est montré ferme . « Dans son rôle de garant de la conformité des lois à la Charte fondamentale, le Conseil constitutionnel vient de réaffirmer, après sa décision historique sur le report de l’élection présidentielle, sa mission de gardien vigilant de la suprématie de la Constitution », a commenté le juge Deme.
Il a également critiqué sans détour la posture du parti Pastef et de son leader, accusés de tenter de « réinterpréter une décision pourtant limpide ». Le juge Dème a insisté, « même l’esprit le moins averti comprend que cette décision a censuré l’article 1er, essence de cette loi scélérate dite interprétative. »
Dans une publication sur Facebook, le juge Dème s’est montré ferme . « Dans son rôle de garant de la conformité des lois à la Charte fondamentale, le Conseil constitutionnel vient de réaffirmer, après sa décision historique sur le report de l’élection présidentielle, sa mission de gardien vigilant de la suprématie de la Constitution », a commenté le juge Deme.
Il a également critiqué sans détour la posture du parti Pastef et de son leader, accusés de tenter de « réinterpréter une décision pourtant limpide ». Le juge Dème a insisté, « même l’esprit le moins averti comprend que cette décision a censuré l’article 1er, essence de cette loi scélérate dite interprétative. »
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