
Une semaine ne s’est même pas écoulée depuis le sommet du G5 Sahel à Nouakchott que les violences ont repris. Mercredi, au moins 40 civils ont été massacrés par des hommes armés dans l'attaque simultanée de plusieurs villages dogons dans le centre du Mali. Quelques jours avant, au Burkina Faso, ce sont sept villageois qui étaient retrouvés tués par balle après leur interpellation. Niagalé Bagayoko, présidente d'Africa Security Sector Network, un groupe de réflexion basé à Accra au Ghana, répond aux questions de RFI.
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