Yakhya Diop Yékini
C’est après sa victoire sur Gris Bordeaux, le 26 juillet, que Yakhya Diop Yékini a été sacré Roi des arènes par le promoteur Gaston Mbengue et l’opérateur de téléphonie mobile Orange. Selon le président du Cng, Alioune Sarr, ce titre ne doit pas lui revenir. Il est décerné, selon lui, à l’issu d’un tournoi et qu’il est toujours détenu par Manga 2.
Et c’est un Yékini très remonté qui apporte sa réplique au président du Cng. «Il m’a vraiment déçu (….), je n’attends pas qu’il me désigne Roi des arènes» a martelé Yakhya Diop Yékini dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères du journal «Le Quotidien». Le lutteur de rappeler tout ce qu’il a enduré pour avoir le titre. «J’ai travaillé dur avec mon staff pour en arriver là où je suis aujourd’hui. Tout ce que j’ai eu ce n’est pas grâce à lui. Ce n’est pas lui qui me permet de vivre» a-t-il poursuivi.
Pour le chef de file de l’écurie Ndakaru, «le titre de Roi des arènes ne signifie pas grand chose, il n'y a pas de l’argent à donner au lutteur. C’est juste un titre honorifique». En plus a-t-il ajouté, «le Cng n’est pas en mesure d’organiser un tournoi actuellement. Eux même soutiennent ne pas disposer de moyens pour organiser des tournois et designer le Roi des arènes».
Ainsi a-t-il insisté, «il faut savoir ce que l’on veut. Tout ce qui est possible à l’heure actuelle, ce sont des confrontations et celui qui règne devient naturellement le meilleur. C’est simple et logique». «Qu’on le veuille ou non je dirige l’arène, je suis roi des arènes» a déclaré Yékini avant de demander à ce que Alioune Sarr lui présente un lutteur qui a fait mieux que lui. «Il n’y a pas», a-t-il conclu.
Et c’est un Yékini très remonté qui apporte sa réplique au président du Cng. «Il m’a vraiment déçu (….), je n’attends pas qu’il me désigne Roi des arènes» a martelé Yakhya Diop Yékini dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères du journal «Le Quotidien». Le lutteur de rappeler tout ce qu’il a enduré pour avoir le titre. «J’ai travaillé dur avec mon staff pour en arriver là où je suis aujourd’hui. Tout ce que j’ai eu ce n’est pas grâce à lui. Ce n’est pas lui qui me permet de vivre» a-t-il poursuivi.
Pour le chef de file de l’écurie Ndakaru, «le titre de Roi des arènes ne signifie pas grand chose, il n'y a pas de l’argent à donner au lutteur. C’est juste un titre honorifique». En plus a-t-il ajouté, «le Cng n’est pas en mesure d’organiser un tournoi actuellement. Eux même soutiennent ne pas disposer de moyens pour organiser des tournois et designer le Roi des arènes».
Ainsi a-t-il insisté, «il faut savoir ce que l’on veut. Tout ce qui est possible à l’heure actuelle, ce sont des confrontations et celui qui règne devient naturellement le meilleur. C’est simple et logique». «Qu’on le veuille ou non je dirige l’arène, je suis roi des arènes» a déclaré Yékini avant de demander à ce que Alioune Sarr lui présente un lutteur qui a fait mieux que lui. «Il n’y a pas», a-t-il conclu.
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