Le Secrétaire général du PIT, Amath Dansokho (© pressafrik.com)
«Dans cette affaire, c’est le voleur qui crie au voleur». C’est en ces termes que le porte-parole du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), Sémou Pathé Guèye a répliqué suites aux accusations proférées par le directeur de Cabinet politique du président de la République, et par ailleurs porte-parole du Parti démocratique Sénégalais (PDS), Babacar Gaye, et par le ministre de l’information Abdoul Aziz Sow. Dans un communiqué titré «Kédougou : le pouvoir n’a qu’à s’en prendre à sa propre politique», le PIT a tenté de démontrer que le régime libéral est derrière les événements qui ont marqués Kédougou le mardi 23 décembre.
Sémou Pathé Gueye a indiqué que «le régime libéral serait derrière ces manifestations parce qu’il appliquerait la politique de la terreur dans le but de piller les ressources de la région sans résistance populaire». Et d’ajouter : «cette situation est le résultat logique et matériel d’une politique économique et sociale qui, au grand dam de l’unité nationale, de l’intégrité territoriale, de la stabilité et de la paix civile du pays produit déjà et ne cessera de produire des convulsions partout dans le pays».
Se disant «bouc émissaire commode», le PIT est d’avis que «dans sa volonté de singer le régime socialiste en pire, Wade veut son Kédougou comme Abdou Diouf avec la Casamance». Le porte-parole du PIT de se demander «si Abdoulaye Wade et son régime ont la mémoire si courte pour oublier que c’est d’une situation pareille qu’est née la tragédie de la Casamance ?»
Les camarades de Dansokho ont affirmé : «au lieu de répondre aux problèmes concret posé par les populations de Kédougou et après avoir été pris en flagrant délits de mensonge, le Pouvoir cherche un bouc émissaire qu’il croit avoir trouvé dans le PIT».
Sémou Pathé Gueye a expliqué que «les événements de Kédougou n’ont rien à voir avec une quelconque manipulation du PIT» avant de préciser : «nous vivons dans une République anarchique où chaque jour les fondements de la République sont bafoués»
Fustigeant les nombreuses arrestations notées à Kédougou suite aux événements, le PIT a soutenu résolument la lutte des kédovins. Il a, ainsi, dénoncé la répression et avant d’exiger la libération de ceux qui ont été arrêtés. Selon le porte-parole du PIT, «Amath Dansokho hante le pouvoir en place parce qu’il les empêche d’assouvir leurs desseins monarchiques».
Pour rappel la commune de Kédougou est dirigée par une délégation spéciale depuis la destitution par décret du maire de la ville, Amath Dansokho en octobre dernier.
Sémou Pathé Gueye a indiqué que «le régime libéral serait derrière ces manifestations parce qu’il appliquerait la politique de la terreur dans le but de piller les ressources de la région sans résistance populaire». Et d’ajouter : «cette situation est le résultat logique et matériel d’une politique économique et sociale qui, au grand dam de l’unité nationale, de l’intégrité territoriale, de la stabilité et de la paix civile du pays produit déjà et ne cessera de produire des convulsions partout dans le pays».
Se disant «bouc émissaire commode», le PIT est d’avis que «dans sa volonté de singer le régime socialiste en pire, Wade veut son Kédougou comme Abdou Diouf avec la Casamance». Le porte-parole du PIT de se demander «si Abdoulaye Wade et son régime ont la mémoire si courte pour oublier que c’est d’une situation pareille qu’est née la tragédie de la Casamance ?»
Les camarades de Dansokho ont affirmé : «au lieu de répondre aux problèmes concret posé par les populations de Kédougou et après avoir été pris en flagrant délits de mensonge, le Pouvoir cherche un bouc émissaire qu’il croit avoir trouvé dans le PIT».
Sémou Pathé Gueye a expliqué que «les événements de Kédougou n’ont rien à voir avec une quelconque manipulation du PIT» avant de préciser : «nous vivons dans une République anarchique où chaque jour les fondements de la République sont bafoués»
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