Le spécialiste en protection de l’enfant au bureau pays de l’UNICEF Sénégal, Massamba Diouf, a indiqué mardi à Saly (Mbour Ouest), que sept décès sur dix ne sont pas déclarés à l’état civil au Sénégal.
”Si on regarde la situation des mariages et des décès, pratiquement sept décès sur dix ne sont pas déclarés à l’état civil. C’est la même chose pour les mariages”, a dit M. Diouf, indiquant que ”c’est une situation assez alarmante, qui nécessite beaucoup de travail ”.
Par rapport aux enfants sans état civil, a ajouté le spécialiste, ”les dernières données qui datent de 2019 montrent que pratiquement trois enfants sur dix ne sont pas déclarés à l’état civil au Sénégal“
Selon lui, cette situation présente des ”disparités dans les régions, avec une plus faible déclaration dans les régions du Sud et du Centre et un peu à l’extrême Nord“.
Pour remédier à cette situation, Ibrahima Ethia, le chargé de communication du Programme de modernisation de l’état civil, a souligné qu’un ”ensemble d’activités de sensibilisation est en train d’être mené sur l’ensemble du territoire national“.
C’est dans ce cadre que s’est tenu à Saly, l’atelier de consultation des religieux sur l’élaboration de l’argumentaire religieux pour la promotion de l’enregistrement à l’état civil.
“Nous avons organisé cette rencontre pour permettre aux religieux de discuter, d’échanger et trouver les arguments les plus pertinents pour promouvoir les déclarations des faits à l’état civil au Sénégal“, a indiqué Ibrahima Ethia.
“Au sortir de cette rencontre, il est attendu un document national qui servira de base de travail, de dialogue et d’échanges entre les religieux et les communautés“, a-t-il souligné.
Avec Aps
”Si on regarde la situation des mariages et des décès, pratiquement sept décès sur dix ne sont pas déclarés à l’état civil. C’est la même chose pour les mariages”, a dit M. Diouf, indiquant que ”c’est une situation assez alarmante, qui nécessite beaucoup de travail ”.
Par rapport aux enfants sans état civil, a ajouté le spécialiste, ”les dernières données qui datent de 2019 montrent que pratiquement trois enfants sur dix ne sont pas déclarés à l’état civil au Sénégal“
Selon lui, cette situation présente des ”disparités dans les régions, avec une plus faible déclaration dans les régions du Sud et du Centre et un peu à l’extrême Nord“.
Pour remédier à cette situation, Ibrahima Ethia, le chargé de communication du Programme de modernisation de l’état civil, a souligné qu’un ”ensemble d’activités de sensibilisation est en train d’être mené sur l’ensemble du territoire national“.
C’est dans ce cadre que s’est tenu à Saly, l’atelier de consultation des religieux sur l’élaboration de l’argumentaire religieux pour la promotion de l’enregistrement à l’état civil.
“Nous avons organisé cette rencontre pour permettre aux religieux de discuter, d’échanger et trouver les arguments les plus pertinents pour promouvoir les déclarations des faits à l’état civil au Sénégal“, a indiqué Ibrahima Ethia.
“Au sortir de cette rencontre, il est attendu un document national qui servira de base de travail, de dialogue et d’échanges entre les religieux et les communautés“, a-t-il souligné.
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