Cette question a été débattue lors d’une table-ronde organisée par le Laboratoire d’études juridiques et politiques, la discussion a prouvé le contraire. Les débats ont été très importants », a-t-il avancé.
Contrairement à l’avis du Conseil constitutionnel, le professeur Serigne Diop estime que la réduction du mandat en cours du président de la République est belle et bien possible. « Quand on enseigne le droit constitutionnel et qu’on évoque l’Angleterre, on dit souvent que la loi peut tout faire, sauf transformer un homme en femme », a expliqué hier le constitutionnaliste lors de l'émission Grand Jury sur la Rfm.
Se faisant plus clair, il a soutenu que « c’est pour dire qu’un législateur est souverain, surtout lorsque c’est le constituant ». Par conséquent, a argué le professeur de droit, « l’essentiel, c’est que tout ce qu’il fait soit techniquement bien fait dans le texte. C’est tout.
En d’autres termes, li souligne que la réduction en cours du mandat présidentiel est techniquement possible et rien ne l’interdit. Mais, a-t-il relevé, « dans le cas d’espèce, le Conseil Constitutionnel ne l’a pas conseillé et le Président a décidé de le suivre.»
Contrairement à l’avis du Conseil constitutionnel, le professeur Serigne Diop estime que la réduction du mandat en cours du président de la République est belle et bien possible. « Quand on enseigne le droit constitutionnel et qu’on évoque l’Angleterre, on dit souvent que la loi peut tout faire, sauf transformer un homme en femme », a expliqué hier le constitutionnaliste lors de l'émission Grand Jury sur la Rfm.
Se faisant plus clair, il a soutenu que « c’est pour dire qu’un législateur est souverain, surtout lorsque c’est le constituant ». Par conséquent, a argué le professeur de droit, « l’essentiel, c’est que tout ce qu’il fait soit techniquement bien fait dans le texte. C’est tout.
En d’autres termes, li souligne que la réduction en cours du mandat présidentiel est techniquement possible et rien ne l’interdit. Mais, a-t-il relevé, « dans le cas d’espèce, le Conseil Constitutionnel ne l’a pas conseillé et le Président a décidé de le suivre.»
Autres articles
-
Budget 2026 : une enveloppe de plus de 728 milliards de F CFA pour le ministère des Infrastructures
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"




Budget 2026 : une enveloppe de plus de 728 milliards de F CFA pour le ministère des Infrastructures


