Le directeur exécutif d’Amnesty International Sénégal, Seydi Gassama, a appelé à une réforme en profondeur du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) afin de renforcer l’indépendance de la justice au Sénégal. Dans une publication sur les réseaux sociaux, il affirme que « pour garantir la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice, le Président de la République et le ministre de la Justice ne doivent pas siéger au Conseil Supérieur de la Magistrature ».
Selon lui, cette instance devrait être « ouverte aux représentants désignés des avocats, des professeurs de droit des universités et de la société civile ».
Pour M. Gassama, « la justice est rendue au nom du peuple sénégalais » et « sa gouvernance doit refléter cette réalité. »
L’intégration de personnalités extérieures à la magistrature permettrait, à ses yeux, de « dissiper les craintes, bien fondées, de corporatisme et de "république des juges" ». Cette proposition s’inscrit dans un débat plus large sur la réforme des institutions judiciaires et sur les garanties à apporter pour assurer l’impartialité et la transparence du système.
Selon lui, cette instance devrait être « ouverte aux représentants désignés des avocats, des professeurs de droit des universités et de la société civile ».
Pour M. Gassama, « la justice est rendue au nom du peuple sénégalais » et « sa gouvernance doit refléter cette réalité. »
L’intégration de personnalités extérieures à la magistrature permettrait, à ses yeux, de « dissiper les craintes, bien fondées, de corporatisme et de "république des juges" ». Cette proposition s’inscrit dans un débat plus large sur la réforme des institutions judiciaires et sur les garanties à apporter pour assurer l’impartialité et la transparence du système.
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