Son implication dans l’organisation du FESMAN avaient fâché certains de ses collègues rappeur dont Malal Tall, alias Fou malade qui avait déclaré qu' Awadi avait troqué son manteau de révolution avec de l’agent.
«Je m’occupait de contacter les artistes internationaux (…). Aucune somme n’est passée entre mes mains», a dit le rappeur qui ajoute que ceux qui ont parlé sont «des gens malintentionnés» qui ont voulu «le salir».
Le patron du PBS/Radikal refuse que son intégrité soit touchée. «Je comprends qu’il y ait de la jalousie mais je n’accepterai pas qu’on mette en cause ma dignité et mon intégrité», a mis en garde le « révolutionnaire» dans les colonnes de L’Obs.
L’auteur de «Président d’Afrique» atteste qu’il ne regrette rien pas d’avoir occupé le poste de commissaire des cultures urbaines. «Je suis un acteur culturel et quand on me demande de travailler pour la renaissance africaine pour laquelle je me bats depuis très longtemps, j’ai le devoir patriotique de le faire», souligne-t-il.
«Je ne suis pas un agent du Gouvernement mais de la culture sénégalaise», fait-il entendre en réaffirmant «son devoir de militant activiste» qu’il joue depuis son entrée dans le mouvement Hip-hop en 1984 malgré son implication dans le FESMAN 3.
C’est dans ce sens, par ailleurs, qu’il a souligné qu’il n’a pas été pris pour chanter les louanges du Président de la République et que son discours n’a pas changé.
Concernant l’organisation du FESMAN3, l’artiste a concédé que tout n’a pas été au meilleur niveau. «Tout n’a pas été positif. Nous sommes passés à côté sur le plan de la communication », a-t-il reconnu.
«Je m’occupait de contacter les artistes internationaux (…). Aucune somme n’est passée entre mes mains», a dit le rappeur qui ajoute que ceux qui ont parlé sont «des gens malintentionnés» qui ont voulu «le salir».
Le patron du PBS/Radikal refuse que son intégrité soit touchée. «Je comprends qu’il y ait de la jalousie mais je n’accepterai pas qu’on mette en cause ma dignité et mon intégrité», a mis en garde le « révolutionnaire» dans les colonnes de L’Obs.
L’auteur de «Président d’Afrique» atteste qu’il ne regrette rien pas d’avoir occupé le poste de commissaire des cultures urbaines. «Je suis un acteur culturel et quand on me demande de travailler pour la renaissance africaine pour laquelle je me bats depuis très longtemps, j’ai le devoir patriotique de le faire», souligne-t-il.
«Je ne suis pas un agent du Gouvernement mais de la culture sénégalaise», fait-il entendre en réaffirmant «son devoir de militant activiste» qu’il joue depuis son entrée dans le mouvement Hip-hop en 1984 malgré son implication dans le FESMAN 3.
C’est dans ce sens, par ailleurs, qu’il a souligné qu’il n’a pas été pris pour chanter les louanges du Président de la République et que son discours n’a pas changé.
Concernant l’organisation du FESMAN3, l’artiste a concédé que tout n’a pas été au meilleur niveau. «Tout n’a pas été positif. Nous sommes passés à côté sur le plan de la communication », a-t-il reconnu.
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