Joseph Gandye, qui travaille pour la chaîne Watetezi TV, a été libéré sous caution samedi, selon l'un de ses avocats.
"Il vient d'être relâché sous caution par la police à Iringa (sud). Il devra se présenter à nouveau lundi", a annoncé l'avocat Jones Sendodo à l'Agence France-Presse.
Dans un communiqué publié samedi, le Conseil des médias de Tanzanie a défendu le journaliste, affirmant que l'émission en question donnait la parole à toutes les personnes concernées, y compris les policiers mis en cause.
L'arrestation du journaliste avait été condamnée par Amnesty International et par le Comité de protection des journalistes (CPJ).
La Tanzanie était au 75ème rang mondial du classement de la liberté de la presse de Reporters sans frontières en 2015. En 2019, elle est descendue à la 118ème place.
"Il vient d'être relâché sous caution par la police à Iringa (sud). Il devra se présenter à nouveau lundi", a annoncé l'avocat Jones Sendodo à l'Agence France-Presse.
Dans un communiqué publié samedi, le Conseil des médias de Tanzanie a défendu le journaliste, affirmant que l'émission en question donnait la parole à toutes les personnes concernées, y compris les policiers mis en cause.
L'arrestation du journaliste avait été condamnée par Amnesty International et par le Comité de protection des journalistes (CPJ).
La Tanzanie était au 75ème rang mondial du classement de la liberté de la presse de Reporters sans frontières en 2015. En 2019, elle est descendue à la 118ème place.
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