C'est sans aucun doute « un pallier franchi », confirme le ministre porte-parole du gouvernement. Une main tendue qui concerne l'ensemble des groupes politico-militaires, assure Abderaman Koulamallah, y compris le mouvement du FACT. Pour la première fois, les autorités l'énoncent directement. Si elles ne veulent pas s'appesantir sur ce sujet, la participation au dialogue national du groupe rebelle à l'origine de la mort d'Idriss Déby posait question.
Autres articles
-
Algérie : le Parlement valide la loi de criminalisation de la colonisation française
-
Algérie: vote attendu au Parlement sur le projet de criminalisation de la colonisation
-
Législatives en Côte d'Ivoire: émergence d'ADCI, une troisième force d'opposition
-
Les États-Unis mènent des vols de surveillance au-dessus du Nigeria
-
Au Bénin, un député en détention provisoire dans le cadre de l'enquête sur le coup d'État avorté





Algérie : le Parlement valide la loi de criminalisation de la colonisation française


