
L’armée française a bombardé, dimanche 3 février, dans le nord du Tchad, un convoi armé composé de rebelles au régime en place. Au nom de la lutte antiterroriste, la France semble plus que jamais prise au piège d’un interventionnisme militaire visant à soutenir Idriss Déby, au pouvoir depuis 1990.
Onze ans après avoir aidé Idriss Déby à repousser une offensive rebelle parvenue jusqu’au cœur de la capitale N’Djamena, l’armée française est intervenue de façon bien plus ostensible dans le nord du Tchad pour aider son allié sahélien dans la guerre contre le terrorisme à faire face à des contestations armées de plus en plus pressantes.
Onze ans après avoir aidé Idriss Déby à repousser une offensive rebelle parvenue jusqu’au cœur de la capitale N’Djamena, l’armée française est intervenue de façon bien plus ostensible dans le nord du Tchad pour aider son allié sahélien dans la guerre contre le terrorisme à faire face à des contestations armées de plus en plus pressantes.
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