Interpellé à ce sujet ce dimanche lors de l’émission Face au Jury, sur Pressafrik TVHD, Moundiaye Cissé a estimé que la situation avait pris de l’ampleur. « Ce que l’on voit sur les réseaux sociaux n’est que l’arbre qui cache la forêt. La rivalité qui sévit dans ce pays dépasse désormais le cadre politique ; on ressent une haine profonde qui divise les gens à travers la politique», a-t-il déclaré.
Face à cela, selon M. Cissé, la société civile a mis en place un programme dénommé « Ambassadeur de la paix ». « Nous sélectionnons des personnalités respectées afin qu’elles contribuent, avec l’appui de la société civile, à apaiser les tensions. La politique, par nature, comporte des rivalités, mais cela ne doit pas créer des ennemis », a fait savoir l'invité de PressAfrik TV HD.
« Je prends l’exemple du Premier ministre Ousmane Sonko, leader de Pastef : il doit revoir sa communication afin d’instaurer un climat de paix. Car ce sont eux qui ont été élus, et c’est à eux qu’il revient de faire le nécessaire pour maintenir la paix dans le pays. Il faut qu’il obtempère. S’ils souhaitent réellement que la paix règne, le Premier ministre doit adopter une attitude plus conciliante dans ses discours. Il doit éviter autant que possible les confrontations avec les autres acteurs politiques. Le pouvoir doit jouer la carte de l’apaisement. Que ce soit le Premier ministre ou le président, ils ont l’obligation de travailler à faire baisser les tensions et ramener la paix », a-t-il ajouté.
Concernant la reddition des comptes, le coordonnateur du COSCE a estimé qu’il s’agit d’une démarche tout à fait normale. Il exhorte ainsi le gouvernement à ne pas classer les irrégularités révélées dans les rapports. Il faut chercher à savoir qui a été épinglé et qui ne l’a pas été. « Tous ceux qui ont été cités doivent rendre des comptes. Mais il est essentiel que la procédure soit menée dans le strict respect de la loi», a-t-il conseillé.
Face à cela, selon M. Cissé, la société civile a mis en place un programme dénommé « Ambassadeur de la paix ». « Nous sélectionnons des personnalités respectées afin qu’elles contribuent, avec l’appui de la société civile, à apaiser les tensions. La politique, par nature, comporte des rivalités, mais cela ne doit pas créer des ennemis », a fait savoir l'invité de PressAfrik TV HD.
« Je prends l’exemple du Premier ministre Ousmane Sonko, leader de Pastef : il doit revoir sa communication afin d’instaurer un climat de paix. Car ce sont eux qui ont été élus, et c’est à eux qu’il revient de faire le nécessaire pour maintenir la paix dans le pays. Il faut qu’il obtempère. S’ils souhaitent réellement que la paix règne, le Premier ministre doit adopter une attitude plus conciliante dans ses discours. Il doit éviter autant que possible les confrontations avec les autres acteurs politiques. Le pouvoir doit jouer la carte de l’apaisement. Que ce soit le Premier ministre ou le président, ils ont l’obligation de travailler à faire baisser les tensions et ramener la paix », a-t-il ajouté.
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