Le vice-président ivoirien, Tiémoko Meyliet Koné, a affirmé ce lundi, à Dakar, que "la justice, même tardive, demeure une exigence", à l’occasion du 81e anniversaire du Massacre de Thiaroye, où des tirailleurs africains, revenus des deux (02) guerres mondiales, ont été froidement abattus pour avoir demandé leur prime de démobilisation.
"Des soldats africains, revenus du front, et en attente de leur démobilisation, ont été victimes d’une répression d’une violence extrême. Il ont combattu au nom d’un idéal universel : la liberté (…) La justice, même tardive, demeure une exigence", a dit Meyliet Koné, pour qui "la paix et le dialogue restent les seuls chemins capables d’empêcher le retour de tels tragédies".
Face à "l’un des épisodes les plus sombres de notre histoire commune", le vice-président ivoirien a souligné que Thiaroye reste certes "un symbole de rupture des promesses mais il incarne aussi la fidélité des africains à l’engagement, au devoir, à la défense des valeurs qui transcendent les frontières".
Pour avoir contribué au contingent des tirailleurs, la Côte d’Ivoire porte "une responsabilité morale dans la préservation de cette mémoire", a assuré le vice-président, qui promet d'œuvrer pour "transmettre" aux générations futures l’histoire de cette tragédie.
"Que la mémoire de Thiaroye soit constante, qu’elle vive en nous, qu’elle renforce notre engagement pour la paix, la justice et la dignité humaine", a enfin plaidé la deuxième personnalité de la Côte d’Ivoire, représentant le président Alassane Ouattara.
"Des soldats africains, revenus du front, et en attente de leur démobilisation, ont été victimes d’une répression d’une violence extrême. Il ont combattu au nom d’un idéal universel : la liberté (…) La justice, même tardive, demeure une exigence", a dit Meyliet Koné, pour qui "la paix et le dialogue restent les seuls chemins capables d’empêcher le retour de tels tragédies".
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