« C’est le peuple Sénégalais qui doit refuser l’arbitraire et l’injustice. Ce que le procureur a dit en demandant que l’immunité du député maire Khalifa Sall soit levée n’est rien d’autre qu’une manière de reconnaitre qu’effectivement le maire de Dakar a une immunité parlementaire », a déclaré Thierno Bocoum.
Poursuivant, il n’a pas manqué de préciser que « véritablement cette immunité devrait lui permettre d’être libre ». « C’est ce que nous dénonçons totalement car nous constatons de plus en plus que le gouvernement n’a qu’une une seule ambition, c’est de faire en sorte que le président Macky puisse avoir un deuxième mandat », a-t-il martelé.
Et, selon lui, « plus rien ne compte, notre démocratie, notre état droit, notre fraternité. Tout ce qu’on a comme valeurs, ça ne compte plus. Ce qu’on veut, c’est tout simplement que Macky Sall ne puisse pas avoir un deuxième mandat ».
« C’est pourquoi, nous demandons aux populations sénégalaises de se mobiliser davantage, de faire face à ce régime afin que de telles pratiques ne puissent pas prospérées. Quand on utilise les institutions de l’Etat pour régler les comptes politiques cela veut dire que demain, même vous les journalistes, vous n’êtes pas à l’abri de l’utilisation de la justice pour le règlement de compte politique. Donc, nous devons nous battre, unis pour que les choses changes, bougent», a-t-il décrété.
Poursuivant, il n’a pas manqué de préciser que « véritablement cette immunité devrait lui permettre d’être libre ». « C’est ce que nous dénonçons totalement car nous constatons de plus en plus que le gouvernement n’a qu’une une seule ambition, c’est de faire en sorte que le président Macky puisse avoir un deuxième mandat », a-t-il martelé.
Et, selon lui, « plus rien ne compte, notre démocratie, notre état droit, notre fraternité. Tout ce qu’on a comme valeurs, ça ne compte plus. Ce qu’on veut, c’est tout simplement que Macky Sall ne puisse pas avoir un deuxième mandat ».
« C’est pourquoi, nous demandons aux populations sénégalaises de se mobiliser davantage, de faire face à ce régime afin que de telles pratiques ne puissent pas prospérées. Quand on utilise les institutions de l’Etat pour régler les comptes politiques cela veut dire que demain, même vous les journalistes, vous n’êtes pas à l’abri de l’utilisation de la justice pour le règlement de compte politique. Donc, nous devons nous battre, unis pour que les choses changes, bougent», a-t-il décrété.
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